Nous le savions déjà, cet article du journaliste du Monde, Monsieur Hervé Morin, a 3 ans de retard mais il a le mérite d’exister car il est publié dans le quotidien le plus important en France, ce qui va libérer la parole des autres clowns terrorisés par la Doxa. Selon ce papier, de nombreux e-mails échangés entre les plus hauts responsables américains, britanniques… démontrent à quel point la possibilité d’une origine laborantine du SARS-CoV-2 était un tabou à écarter. De fait, ils ont décidé de publier un article – « The Proximal Origin of SARS-CoV-2 » – qui sera accepté par la prestigieuse revue Nature, qui servira plus tard à Fauci d’argument massue contre les fameux « complotistes » ! Une grande partie des signataires de cette étude n’était même pas convaincue de l’origine animale, elle voulait attendre d’autres données, le résultat d’expertises supplémentaires, sauf qu’elle n’a pas eu le temps de les avoir et a dû signer le papier sans le lire. C’est une énième preuve de la gigantesque mascarade covidiste, une tromperie historique, mondiale, qui n’a pas d’égal dans l’histoire humaine.
Reste à savoir pourquoi Monsieur Hervé Morin a eu l’idée et le courage de publier cet article qui pourra être considéré par les zozos zététiciens comme un article complotiste, antiscience, antivax… ? Pourquoi maintenant, pourquoi aujourd’hui alors que les travaux du groupe Drastic ont déjà réglé le problème depuis longtemps ! Il faut bien comprendre que des signataires de cet article mensonger – « The Proximal Origin of SARS-CoV-2 » – sont eux-mêmes des amateurs de la technique de « gain de fonction », technique illégale aux USA, celle-là même qui a créé le SARS-CoV-2, ils étaient donc obligés de faire croire que le virus avait une origine naturelle, autrement ils auraient tous été condamnés pour avoir bousillé une planète de 7.7 milliards d’habitants !
Peu d’articles scientifiques peuvent se targuer d’une telle audience, ni d’avoir alimenté autant de spéculations. Publié le 17 mars 2020 dans Nature Medicine, « The Proximal Origin of SARS-CoV-2 », qu’on pourrait traduire par « Au plus proche de l’origine du SARS-CoV-2 », a été téléchargé plus de 5,7 millions de fois, et cité dans 2 650 articles scientifiques. La conclusion de ses cinq signataires ? « Nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une construction de laboratoire ou un virus manipulé à dessein », écrivent Kristian Andersen (Institut de recherche Scripps, La Jolla, Californie) et ses collègues. Ils estiment plutôt qu’un réservoir animal est la source de son transfert à l’homme, avec ou sans hôte intermédiaire…