Pendant qu’en France la hasbara sioniste est en train d’essayer de détourner l’attention sur le génocide perpétré sur la population civile palestinienne à Gaza ainsi que la désastreuse famine imposée par un blocus criminel, en Afrique du Sud ce n’est pas tout à fait la même ambiance. La ministre des Affaires étrangères vient d’affirmer que tous les combattants sionistes sud-africains qui rentrent chez eux en ayant participé aux combats dans la bande de Gaza seront emprisonnés étant donné qu’il s’agit d’un génocide et d’un nombre incalculable de crimes de guerre. Ce n’est certainement pas en France que cela risque d’arriver, du moins pas avant la chute du lobby sioniste ultrapuissant.
CAPE TOWN, Afrique du Sud (AP) — Afrique du Sud’s foreign minister sa country’s citizens who fight in the Israeli armed forces or leong Gaza seront arrêtés quand ils rentreront chez eux, approfondissant le fossé entre les nations après l’Afrique du Sud accusations de génocide contre Israël à la Cour suprême des Nations Unies’.
Le ministre des Affaires étrangères Naledi Pandor a fait ce commentaire plus tôt cette semaine lors d’un événement de solidarité palestinienne auquel ont assisté des responsables d’Afrique du Sud, le parti au pouvoir, l’African National Congress.
Elle a également encouragé les gens à protester devant les ambassades contre ce qu’elle a appelé les “ cinq principaux partisans ” d’Israël et de ses action militaire à Gaza. Elle ne les a pas nommés, mais faisait presque certainement référence aux États-Unis, au Royaume-Uni et à l’Allemagne, entre autres.
“ J’ai déjà publié une déclaration alertant ceux qui sont sud-africains et qui combattent aux côtés ou dans les Forces de défense israéliennes: nous sommes prêts. Lorsque vous rentrerez chez vous, nous allons vous arrêter, ” Pandor a dit, sous les applaudissements ravis du public.
En décembre, le ministère des Affaires étrangères a déclaré que le gouvernement sud-africain craignait que certains de ses citoyens ou résidents permanents se soient joints aux FDI pour combattre à Gaza et a averti qu’ils pourraient faire l’objet de poursuites si ils n’avaient pas été autorisés à le faire en vertu des lois sud-africaines sur la maîtrise des armements.