Encore un scandale sanitaire à 600 € le traitement dont se rend coupable, une fois de plus, Big Pharma avec l’aide de politiciens corrompus comme Olivier Véran. Non seulement ce traitement soi-disant “prometteur” ne fonctionne pas mais en plus il risque de créer des mutations qui peuvent s’avérer dangereuses. Le cas de ce médicament du laboratoire criminel Merck – déjà responsable de nombreux scandales sanitaires – est un cas d’école des magouilles de Big Pharma. Premièrement : il a été autorisé par la FDA sans même qu’ une étude, vérifiée par les pairs, ne soit publiée ! Ils ont donc pris une décision en se basant sur les données du laboratoire seul ! Deuxièmement : pire encore, en France la HAS a refusé de donner l’autorisation précoce d’utilisation ! De fait, on aimerait bien comprendre comment est-il possible d’utiliser ce traitement en France alors qu’il a été refusé par la Haute autorité de la santé et malgré son coût excessivement cher ? Même l’Agence européenne du médicament a refusé l’octroi de l’autorisation de mise sur le marché. En d’autres termes, nous avons ici la démonstration qu’Olivier Vérantanplan a pris une décision de commander 50 000 doses sans vérification des données, sans avis collégial, il a juste obéi aux ordres du lobby.
De surcroît, l’accusation contre la molécule de Merck est solide car le génome du virus possède une signature spécifique dès l’introduction du traitement dans les pays qui ont accepté d’acheter ce poison. Dans les autres pays qui ne l’ont pas utilisé, cette signature génomique n’existe pas. Décidément Olivier Véran a absolument tout raté dans la gestion de cette crise, il n’a cessé de mentir, de manipuler la population et de diffuser des fake niouzes. Pourtant, il continue de parader sur les plateaux télé. Il reste au gouvernement comme si de rien n’était, démonstration supplémentaire que le régime macron nous a transformé le pays en république bananière.