On peut éventuellement excuser une erreur de 10 ou 20 % mais multiplier le nombre par 14 relève de la grossière propagande. On peut excuser également une petite erreur mais trois en même temps et dans le même article, ça fait un peu trop surtout lorsque l’on est présenté comme journaliste d’investigation. L’objectif de cet article reste bien entendu de minimiser un maximum le nombre d’effets indésirables cardiaques et de gonfler au maximum le nombre d’hospitalisations d’enfants et de PIMS afin de faire croire que la balance/bénéfice risque penche pour la vaccination. C’est le seul objectif de ce papier que l’on rencontre d’ailleurs dans la bouche de nombreux morticoles cathodiques parisiens.
- Apoorva Mandavilli est une journaliste d’investigation (sic) américaine dont le travail s’est concentré sur la science médicale. Pendant la pandémie de COVID-19, elle a rejoint le New York Times en tant qu’écrivaine sur la santé et la science. (Wiki eng). Elle a été lauréate (resic) en 2019 du prix Victor L. Cohn pour le journalisme scientifique.