Le texte est clair, le service de vérification d’information de Libération ose écrire que “Contrairement à ce qu’affirme le professeur marseillais, les données disponibles confirment que la protection contre les formes graves de la maladie reste significative, de nombreux mois après la troisième dose.” ! Pour faire une telle affirmation, ils vont s’appuyer sur des études scientifiques qui vont dans leur sens, qui vont appuyer et conforter leurs certitudes.
Curieusement, Forbes va publier un article le 13 mai dernier et qui affirme l’inverse en s’appuyant sur une étude danoise publiée dans le JAMA. Selon cette étude : “La proportion d’anticorps spécifiques à l’omicron détectés dans le sang des participants a chuté “rapidement” de 76 % quatre semaines après la deuxième injection à 53 % aux semaines huit à 10 et à 19 % aux semaines 12 à 14“, autant dire rien. Quant à la 3e injection, une chute très importante du taux d’anticorps commence à partir de la 3e semaine ! Bien entendu, il n’est pas question pour eux de remettre en cause l’efficacité de ces injections puisqu’ils poussent à réaliser une 4e ! Et lorsqu’ils se rendront compte qu’elle ne fonctionne pas du tout, ils valideront la 5e dose et ainsi de suite…
En réalité, la situation est extrêmement simple, si les injections d’ARN messager étaient si efficaces, la courbe de mortalité du Covid-19 aurait été aplatie depuis belle lurette comme ceci est démontré sur le schéma ci-dessous. Ceci est encore une fois la démonstration que le covidisme est une maladie mentale.