Le secret de polichinelle, l’information la plus inutile du jour puisque tout le monde savait que Manuel Valls allait se présenter à la mairie de Barcelone, d’autant qu’il avait déjà vidé ses casiers à l’Assemblée nationale depuis plus d’une semaine. Ne parlons même pas de son absentéisme record des travées de cette même Assemblée, ce qui démontre qu’il était occupé à autre chose.
Nous pouvons donc constater que ce triste personnage est spécialisé dans le parjure ; il s’était déjà illustré lorsqu’il avait perdu aux primaires du défunt Parti Socialiste puisqu’il a rejoint Emmanuel Macron alors qu’au terme d’un document qu’il avait préalablement signé, il devait soutenir le vainqueur de son parti. Voici aujourd’hui son deuxième parjure lui qui avait juré la main sur le cœur qu’il allait améliorer le quotidien de ses administrés qui avaient voté pour lui et qui lui avaient permis d’être député. C’est consternant ! Ça donne la nausée et dégoûte définitivement des hommes politiques et de la politique tout court.
On imagine qu’il fera les mêmes promesses au Barcelonais, les mêmes discours enflammés, le teint écarlate et la main tremblotante, pour ensuite les trahir de la plus détestable des façons. Attention, cela reste néanmoins une excellente nouvelle pour la France qui se débarrassera d’une telle engeance, d’autant qu’il quitte ses fonctions de député et donc son très gros salaire et qu’il va certainement perdre cette élection espagnole pour notre plus grande joie ! Il est possible que personne ne lui ait dit ce qui va suivre : « le crime ne paie pas » ! Mais il faut croire que pour un franc-maçon du Grand Orient de France, c’est dans le parjure et la trahison qu’il excelle, plutôt que dans l’honneur et la dignité dont il a définitivement perdu le sens.
L’ancien Premier ministre français Manuel Valls officialise ce mardi 25 septembre sa candidature aux municipales dans la deuxième ville d’Espagne.
« Je veux être le prochain maire de Barcelone.» Par ces mots, prononcés mardi 25 septembre, en catalan, au Centre de culture contemporaine de Barcelone, Manuel Valls a officialisé sa candidature à la mairie de la capitale catalane. Son annonce, attendue, ne crée guère la surprise.
Dans le même discours, l’ancien socialiste a annoncé qu’il allait démissionner de son mandat de député de l’Essonne en France.
Il a fait cette annonce en français cette fois et a déclaré que cet abandon de ses responsabilités françaises aurait lieu la semaine prochaine.
Manuel Valls, 56 ans et ancien Premier ministre français est né à Barcelone et a été naturalisé français. “Depuis ma naissance (…) ma relation avec Barcelone a été intime, constante”, a fait valoir Manuel Valls.Cette candidature à une élection municipale dans une grande métropole après une carrière politique de premier plan dans un autre pays est inédite en Europe. Tout citoyen de l’UE peut se présenter à des élections locales dans un autre pays que le sien au sein de l’Union depuis le traité de Maastricht.
“Dimitiré la setmana vinent de totes les meves responsabilitats a França”.
Depuis l’échec de ses ambitions présidentielles en France en 2017, Manuel Valls s’est engagé de l’autre côté des Pyrénées, multipliant meetings et manifestations contre les indépendantistes catalans qui ont tenté en octobre dernier de faire sécession de l’Espagne.
Le défi s’annonce de taille le 26 mai prochain pour succéder à l’actuelle maire de gauche, l’ancienne militante du droit au logement, Ada Colau, à la tête de la ville de 1,6 million d’habitants. Manuel Valls est assuré du soutien du parti libéral Ciudadanos, fer de lance de l’opposition à l’indépendantisme, qui l’invitait depuis plusieurs mois à porter ses couleurs.
Il a recruté pour sa campagne un ex-directeur de communication du FC Barcelone, club dont il est supporter, et l’ancien bras droit du maire socialiste, Pasqual Maragall (1982-1997), symbole de l’entrée dans la modernité de la ville qui accueillit les jeux Olympiques en 1992.Une candidature qui divise
L’intention de Valls, élevé à Paris par un père catalan et une mère italo-suisse et naturalisé français à 20 ans, est d’incarner une Barcelone cosmopolite face au nationalisme catalan. Fort de son passé comme ministre de l’Intérieur, il compte également faire campagne sur la lutte contre l’insécurité, préoccupation grandissante des Barcelonais. D’après Jordi Muñoz, politologue de l’Université de Barcelone, “ses chances d’être maire sont minces”.
Manuels Valls n’est pour l’heure pas parvenu à convaincre les deux autres partis anti-indépendantistes, le Parti socialiste à gauche et le Parti populaire à droite, de se rallier à sa candidature, souligne Muñoz.
Or, estime […]