Voici enfin la preuve que les mosquées de France sont infiltrées par les services de renseignements comme tout le monde pouvait l’imaginer, sauf les propagandistes et autres manipulateurs qui font croire que c’est la débandade et que personne ne fait le travail ! Nous l’avions déjà constaté et annoncé à Marseille en 2007 en affirmant qu’un très grand nombre d’imams travaillaient régulièrement et main dans la main avec les services de renseignements et qu’en plus de cela, ces derniers ont mis en place des taupes pour les informer de ce qui s’y passe.
« Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d’accès, aux messageries », s’alarment, au sujet du tueur de la préfecture de police de Paris, Mickaël Harpon, plusieurs flics auprès du « Canard enchaîné » à paraître ce mercredi 9 octobre.
L’information est on ne peut plus inquiétante. Selon le Canard enchaîné de cette semaine, imprimé ce mardi 8 octobre, Mickaël Harpon, le tueur de la préfecture de police de Paris, a pu avoir accès à la liste des policiers infiltrés dans les mosquées.
C’est une source anonyme exerçant en haut lieu qui l’affirme : « Du fait de ses fonctions, Harpon avait accès aux fichiers protégés, notamment à celui où figure l’identité des taupes. Il nous faut savoir s’il les a partagés »…« On risque de pleurer bientôt d’autres morts ».
Un commandant, vieux routier du Renseignement, se montre particulièrement inquiet auprès de nos confrères : « S’il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d’autres morts ».
La Une du 9 octobre 2019 est à consulter ici :https://www.lecanardenchaine.fr/la-une-du-9-octobre-2019/ …
Selon Le Parisien, l’informaticien de la direction du renseignement de la préfecture de police avait stocké sur une clé USB les coordonnées et données personnelles de plusieurs dizaines de ses collègues. « Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d’accès, aux messageries », s’alarment plusieurs flics auprès du Canard. Selon l’hebdomadaire, la police judiciaire a aussi retrouvé, dans le répertoire téléphonique du fonctionnaire, deux autres fichés S originaires, comme lui, des Antilles.
Photo d’illustration : le quartier de la préfecture de police de Paris bouclé, le 3 octobre, jour de la tuerie. – Jair Cabrera Torres / DPA / dpa Picture-Alliance/AFP
8 octobre 2019