Déjà, avant toute chose, il faut bien remarquer que ces morticoles tiennent exactement le même discours terrifiant fin novembre 2021 que ce qu’ils affirmaient en mars avril 2020 alors que plus de 75 % de la population est vaccinée ! C’est complètement anormal, c’est un aveu de l’échec de la politique vaccinale et de l’efficacité de leurs produits expérimentaux. Deuxièmement, on fera remarquer que ce sont toujours les mêmes qui s’expriment, ceux qui sont grassement payés par Big Pharma, les KOL ou key opinion leaders. De plus, ces 2 zigotos qui poussent à la 3e dose pour tous vont à l’encontre des recommandations de l’OMS !
Mais le plus inquiétant, ce qui semble complètement fou, ce sont les propos de Dominique Costagliola, clairement échappée d’un asile psychiatrique qui s’appelle Inserm. Elle affirme tout de go qu’“il n’y a pas de question à se poser” ! C’est-à-dire que cette dame s’est réveillée le matin, elle s’est dirigée vers les locaux de LCI au lieu d’aller bosser en tant que fonctionnaire payée par l’argent public, puis elle a décidé de piétiner toute la déontologie médicale en une seule phrase, tous les fondamentaux de la science et de la philosophie et au journaliste en face, Darius Rochebin, de sourire bêtement comme toujours !
Mais le plus comique reste à venir. Selon elle, “une troisième dose va aider le système immunitaire à avoir une meilleure réponse.” ! Tout ceci n’est que conjectures, elle ne sait absolument pas si ça va fonctionner d’autant que la 1ère et la 2e dose ont été des échecs lamentables. Du coup, pour les réparer, ils appellent à une 3e dose, exactement la même avec la même souche virale initiale, rien de plus logique dans un cerveau défaillant. Pour finir, et comme le pire ne déçoit jamais, elle ajoutera : “On peut donc espérer une réponse plus durable.” ! Elle n’est donc pas certaine, c’est juste de l’espoir. Dominique Costagliola espère ! Du coup, se basant sur ses espérances, on est obligés de vacciner nos enfants pour lui faire plaisir ! Ceci a-t-il franchement un lien avec la science ?
Mais ce qui est le plus grave c’est de voir ces 2 professionnels de la santé venir diviser la société, participer à la fracture toujours plus forte entre les vaccinés et les non vaccinés en accusant ces derniers d’être les responsables de la circulation du virus alors qu’ils savent que c’est entièrement faux. Leur responsabilité dans les futurs violences sociales est immense (cf. ce qui se passe en Guadeloupe, Pays-Bas…)
Enfin, il est extrêmement inquiétant d’observer la population française toujours passive, totalement zombifiée pour sa grande majorité, face à toutes ces âneries déblatérée quotidiennement sur les plateaux télé malgré un niveau de formation assez élevé et une classe moyenne instruite ! Comment font-ils, un véritable mystère !
INTERVIEW – Invités de Darius Rochebin sur LCI, ce samedi, l’épidémiologiste Dominique Costagliola et l’infectiologue Enrique Casalino se disent favorables l’injection d’une troisième dose pour reprendre la main sur le virus. Ce shot de vaccin “va aider le système immunitaire à avoir une meilleure réponse, plus durable.”
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Pour enrayer cette reprise épidémique, la question de la troisième dose apparaît comme inévitable. En effet, l’efficacité du vaccin contre les risques d’infection diminue avec le temps, à partir du 6e mois après la deuxième injection. “Cette baisse d’efficacité est d’autant plus importante, en fonction de l’âge et des comorbidités”, explique l’épidémiologiste Dominique Costagliola, directrice de recherches à l’Inserm, invitée de Darius Rochebin sur LCI, samedi 20 novembre. Ce rappel, uniquement accessible aux plus de 65 ans et les personnes à risque de formes graves, boosterait la protection contre le virus. …
“De façon de très claire, on a des études qui montrent que lorsqu’on a eu ce rappel, on a un gain d’efficacité”, affirme la biostatisticienne. Sur la base de ces données, le spectre d’accueil va s’ouvrir progressivement, puisqu’à partir du 1er décembre, les 50-64 ans seront éligibles. Dans un avis publié, vendredi 19 novembre, la Haute autorité de santé (HAS) a recommandé d’élargir l’injection aux 40 ans et plus. Pour Dominique Costagliola, “il n’y a pas de question à se poser”, “une troisième dose va aider le système immunitaire à avoir une meilleure réponse. On peut donc espérer une réponse plus durable.”
Le temps des interrogations est passé, il faut désormais agir car, sur la troisième dose, “nous sommes déjà en retard”, déplore sur LCI l’infectiologue Enrique Casalino. “On aurait dû être beaucoup plus proactifs, beaucoup plus réactifs, (…) avec une stratégie de communication beaucoup plus enthousiaste, moins timorée et avec des arguments beaucoup plus convaincants, probablement adaptés à chacune des populations que nous devons vacciner.” “La HAS dit qu’il faudrait commencer (la troisième dose, ndlr) à 40 ans et on nous dit qu’on va réfléchir, mais réfléchir à quoi ?”, rebondit Dominique Costagliola.
Par ailleurs, l’épidémiologiste regrette qu’on “ne fait pas le débat par rapport à la vaccination des enfants“, la fameuse tranche des 5-11 ans. “Je trouve qu’il n’y a aucune bonne raison qu’un enfant, même si le risque est très faible, doive mourir ou être hospitalisé à cause de la Covid”, argumente-t-elle. “Ce qu’on voit, par exemple, du déploiement de la campagne aux États-Unis, où il y a déjà plus d’un million d’enfants vaccinés, laisse à penser que le risque (de la vaccination) n’est pas très élevé.” Pour Dominique Costagliola, “il faut adopter l’ensemble des mesures qui minimisent les dommages.” “La vaccination en fait partie. Par conséquent, je pense qu’effectivement, pour tous les plus de 12 ans, il faudra aller vers la troisième dose”, estime-t-elle.