De nombreux journalistes ont publié un article d’une rare stupidité concernant la censure du film Barbie dans de nombreux pays musulmans. Faut-il rappeler qu’aux États-Unis le film est PG-13 ou interdit aux moins de 13 ans, 12 ans au Royaume-Uni et 9 ans en Belgique. Curieusement, en France, le film est tout public ! Décidément, la politique de protection de la jeunesse est infiniment plus laxiste en France, le pays de la corruption de mineurs par excellence. Cette interdiction démontre que c’est un film qui n’est pas fait pour les enfants, mais pour les adultes.
Les fragiles journalistes de la Doxa parisienne ont été choqués par cette censure en Algérie ! On peut les comprendre puisqu’ils écoutent et lisent Kamel Daoud, pseudo-écrivain condamné en Algérie pour avoir battu sa femme, qui affirme toute honte bue que cette interdiction en Algérie a été le fait des « barbus », c’est-à-dire des islamistes. Pourtant, l’autorité au pouvoir actuellement en Algérie est représentée par la junte militaire éradicatrice des barbus, les amis de Kamel Daoud. On a même pu écouter aujourd’hui sur Cniouzes le rédacteur en chef du service Débats du Figaro – Alexandre Devecchio – répéter bêtement cette fake niouze ridicule. Tout ça pour essayer de vendre un jeu de mots foireux.
Enfin, une question mérite d’être posée à toutes ces personnes qui défendent la liberté d’expression lorsqu’il s’agit de dépravation et de corruption de mineurs : qu’en est-il du film Sound of Freedom qui n’est toujours pas sorti en France malgré un succès commercial impressionnant outre-Atlantique ? On a rarement vu sur terre des personnes aussi hypocrites et malsaines que ces pervers qui veulent imposer leurs délires à la planète entière en se parant des vertus les plus nobles. D’autant qu’il est extrêmement hypocrite de faire semblant que l’industrie hollywoodienne n’est pas là pour imposer une Doxa, un mode de vie, qui passe bien entendu par l’hégémonie américaine : militaire, culturelle, économique…
Une bonne fois pour toutes, non les délires LGBT occidentaux n’ont pas leur place en Afrique, n’ont pas leur place dans les pays musulmans et ce n’est pas près de changer. C’est un point de fracture et toutes les élites arabes corrompues et décadentes n’y pourront rien.
Pendant trois semaines, les rares salles de cinémas ouvertes en Algérie se sont parées de rose pour projeter le blockbuster américain Barbie.
Comme ailleurs dans le monde, des files interminables de spectateurs ont rempli des salles qui ne s’étaient animées qu’en de rares occasions durant l’année. Jusqu’à ce que, dimanche 13 août, le film de Greta Gerwig, déjà un des plus vus de l’histoire sur grand écran, ne disparaisse, résultat d’une décision inattendue du ministère de la Culture.
Alors que le phénomène continue à battre les records de spectateurs à travers le monde, l’Algérie vient de rejoindre la liste des rares pays qui ont décidé de le boycotter. L’information n’a pas été communiquée par voie officielle, mais a d’abord été donnée par le site d’information 24H Algérie, qui affirme qu’une note du ministère a été envoyée à toutes les salles de cinéma dans les trois wilayas (préfectures) – Alger, Oran et Constantine – où le film était projeté, les sommant de le « retirer immédiatement ». Le distributeur du film en Algérie, MD Ciné, a aussi été notifié. Visionné par 40 000 Algériens avant son interdiction, Barbie aurait été retiré pour atteinte à la morale, selon des sources informées. L’information a par la suite été confirmée par les salles de cinéma qui ont enlevé l’affiche du film de leurs devantures.
Parmi les spectateurs, beaucoup font part de leur étonnement. « Quand j’ai vu Barbie, la salle affichait complet. Des familles entières étaient venues voir le film. Je n’ai remarqué aucun signe de mécontentement. C’est pour cela que je n’arrive pas à comprendre cette décision », dit Shahinez, enseignante de 29 ans, qui a vu le long-métrage dès le lendemain de sa sortie à Oran (Ouest). « On parle de scènes faisant la promotion de l’homosexualité, alors que je n’ai rien remarqué dans ce sens », ajoute-t-elle. Les autorités algériennes n’ont donné aucune explication à leur ordre de déprogrammation.
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17 août 2023