C‘est un des plus violents tours de force des covidiots et autres télétoubibs corrompus par Big Pharma : avoir fait disparaître le concept d’immunité collective du débat public. Pourtant, l’objectif de la vaccination, de toute vaccination, est justement d’atteindre ce palier d’immunité collective qui protège toute la population. Comme par magie, avec cette fausse crise sanitaire, l’immunité collective n’existe plus, il faut absolument vacciner 100 % de la population même ceux qui n’ont aucun risque de tomber gravement malade comme les enfants par exemple. C’est encore une fois, une preuve supplémentaire de la gigantesque mascarade politico-médiatique que nous vivons et qui n’a strictement rien à voir avec la science, la médecine ou la santé publique.
Vous remarquerez néanmoins que le professeur Kamel Djenouhat continue de terroriser la population en expliquant qu’il faut “redoubler de vigilance” alors que la mortalité Covid-19 est à zéro en Algérie depuis 6 mois comme vous pouvez le remarquer sur la capture écran ci-dessus ! Avec ce type de raisonnement stupide, dans 10 ans avec une mortalité à 0, il faudra décupler de vigilance ! En d’autres termes, nous sommes condamnés à demeurer vigilants pour l’éternité…
Selon les dires de quelques scientifiques, la population algérienne aurait atteint l’immunité collective sans vaccin contre le coronavirus, Covid-19, mais comment est-ce possible ? La réponse d’un expert.
Après avoir mené une bataille épique contre la Covid-19 à son apparition et s’être engagés, dès lors, dans une course contre la montre pour développer un vaccin qui pourrait prémunir l’humanité, plusieurs pays parcourent à l’heure actuelle un long marathon vers l’immunité collective, qui serait d’ores et déjà atteinte spontanément en Algérie.
En effet, ils sont nombreux à évoquer une immunité collective atteinte dans le pays au temps où la campagne de vaccination peine à toucher une grande partie de la population. S’agit-il vraiment d’un miracle au péril de la science comme le voient certains ? La réponse est non ! Selon le professeur Kamel Djenouhat, tout pourrait s’expliquer scientifiquement.
Le président de la Société algérienne d’immunologie est donc revenu sur le sujet, le 25 mars dernier, sur les ondes de Radio Sétif. En préambule, il a tenu à noter la baisse notable des contaminations au coronavirus, observée depuis plusieurs semaines en Algérie.
Selon lui, cette situation épidémiologique marquée par une tranquillité inouïe s’explique logiquement par une immunité collective acquise par la population algérienne. Comment est-ce possible alors que beaucoup d’entre nous n’ont toujours pas reçu de vaccin ?
Une question qui vous taraude l’esprit, peut-être, en lisant ses lignes, mais à laquelle le spécialiste a tenu à répondre. D’après lui, l’immunité collective pourrait être acquise par la vaccination comme tout simplement pas. Nous pourrions l’acquérir suite à une infection naturelle, fait-il remarquer.
Pour illustrer ses dires, le Pr Djenouhat a analysé le cas de notre pays. Il tient à signaler tout d’abord que l’arrivée des vaccins dans le pays n’était pas si rapide. Cela va sans dire que le professeur a écarté de cette manière l’hypothèse portant sur la vaccination.
Un peu plus loin, il a fait savoir que son département a mené une étude monocentrique. Au terme de cette dernière, 1.000 donneurs de sang ont été recrutés, détaille-t-il. 50 % d’entre eux, révèle-t-il au passage, se sont avérés asymptomatiques. La moitié des sujets possédait, selon lui, une immunité protectrice contre le coronavirus.
Un constat scientifique qui affirme la deuxième hypothèse avançant la possibilité d’une éventuelle immunité naturelle, qui est en tout cas, tout sauf innée. Malgré cette déduction optimiste, le pays reste confronté, d’après Pr Djenouhat, à deux problèmes.
Primo, les citoyens ayant plus de 60 ans n’ont toujours pas développé cette immunité de 50 %. Secundo, et comme a tenu à mettre en exergue Kamel Djenouhat lors d’un entretien accordé à El Watan le 28 mars dernier, la durée de cette immunité est inconnue. Celle-ci n’est peut-être pas efficace contre les nouveaux variants, souligne-t-il. En définitive, cette situation, pour l’heure moins inquiétante qu’imaginée, n’empêche pas de redoubler de vigilance.
31 mars 2021