Voici la démonstration que le nouveau variant qui terrorise la France, est 8 fois moins mortel en Afrique du Sud, pays dans lequel il circule depuis le 25 novembre dernier et date à laquelle il a été découvert. Il a donc eu le temps de diffuser chez un nombre très important de personnes et le résultat est très encourageant puisqu’il a fait diviser par 8 la mortalité et les hospitalisations. Bien sûr, la population sud-africaine est beaucoup plus jeune mais néanmoins, cette baisse importante est constatée. Du coup, pourquoi continuer à répandre la panique avec ce terrorisme sanitaire dont BFM est devenu le leader national ! À la lecture de cet article de Bloomberg qui date du 17 décembre, il y a 3 jours, pourquoi Bruce Toussaint a-t-il décidé de mentir à ce point et de tromper son public, en parlant de virus omicron qui se « déchaîne » allant jusqu’à demander aux pays du monde entier de prendre des mesures beaucoup plus strictes immédiatement !
Rappelons que c’est ce même Bruce Toussaint qui a réalisé une interview truquée de Francis Palombi, le montrant admis dans un hôpital de Neuilly en expliquant qu’il était antivaccin mais que son hospitalisation à cause du Covid-19 l’a transformé radicalement, l’a convaincu qu’il faut absolument se faire vacciner pour sortir de la crise. Francis Palombi a avoué sur son compte Twitter que c’était une mise en scène !
Ceci est définitivement la preuve que cette crise sanitaire est en réalité une création médiatique qui, à force de propagande et de reportages 24 heures sur 24 parlant du Covid-19, une grande partie de la population a cru vraiment qu’elle allait mourir. Cela dure depuis 2 ans, c’est assez spectaculaire et inédit dans l’histoire humaine. On imagine que les conséquences seront dramatiques dans un futur proche, car ce chaos ne peut pas durer éternellement…
L’Afrique du Sud a livré vendredi des nouvelles positives sur la variante du coronavirus omicron, faisant état d’un taux d’admissions à l’hôpital beaucoup plus faible et des signes que la vague d’infections pourrait atteindre un pic.
Seuls 1,7% des cas identifiés de Covid-19 ont été admis à l’hôpital au cours de la deuxième semaine d’infections de la quatrième vague, contre 19% au cours de la même semaine de la troisième vague entraînée par le delta, a déclaré le ministre sud-africain de la Santé Joe Phaahla lors d’une conférence de presse. Les responsables de la santé ont présenté des preuves que la souche peut être plus bénigne et que les infections peuvent déjà culminer dans la province la plus peuplée du pays, Gauteng.
Pourtant, les nouveaux cas au cours de cette semaine de la vague actuelle étaient supérieurs à 20 000 par jour, contre 4 400 au cours de la même semaine de la troisième vague. C’est une preuve supplémentaire de la transmissibilité rapide de l’omicron, que connaissent également un certain nombre d’autres pays, comme le Royaume-Uni. L’Afrique du Sud, qui a annoncé la découverte du variant le 25 novembre, est considérée comme un signe avant-coureur de ce qui pourrait arriver avec omicron ailleurs.
Les scientifiques ont averti que d’autres pays pourraient avoir une expérience différente de celle de l’Afrique du Sud, car la population du pays est jeune par rapport aux pays développés. Entre 70 % et 80 % des citoyens peuvent également avoir déjà eu une infection à Covid-19, selon les enquêtes sur les anticorps, ce qui signifie qu’ils pourraient avoir un certain niveau de protection.
Actuellement, il y a environ 7 600 personnes atteintes de Covid-19 dans les hôpitaux sud-africains, environ 40 % du pic des deuxième et troisième vagues. Les décès excessifs, une mesure du nombre de décès par rapport à une moyenne historique, sont juste en dessous de 2 000 par semaine, un huitième de leur précédent pic…