Les cas de pédophilie sont très nombreux à l’école et devraient représenter une priorité nationale, pourtant on en parle très très peu contrairement aux prêtre pédophiles qui occupent un espace médiatique gigantesque. Pourquoi les uns et pas les autres ? Il est vrai que le corps enseignant et son ministère sont réputés de gauche, donc humanistes, très souvent athées, il est donc impossible qu’ils puissent agresser et violer les enfants de la sorte…
La ministre de l’éducation nationale l’a annoncé au micro de RTL.
Alors qu’une affaire de pédophilie frappe le diocèse de Lyon, Najat Vallaud-Belkacem a fait la lumière sur les cas traités à l’Éducation nationale. Invitée de RTL, la ministre a indiqué qu’il y avait eu « 27 radiations sur ce sujet en 2015 ».
L’Éducation nationale a été secouée par plusieurs affaires de pédophilie, notamment à Villefontaine (Isère) où un directeur d’école a été mis en examen pour viols de onze élèves, qui auraient été commis entre décembre et mars 2014.
« Essentiellement des hommes »
Selon la ministre, ces affaires concernent « essentiellement des hommes, mais peu importe : que ce soit des hommes ou des femmes, c’est tout aussi grave », a déclaré la ministre de l’Education nationale. Il s’agit notamment d’enseignants du premier et du second degré, a-t-il indiqué à la radio.
« J’estime qu’un professeur ou un agent de l’administration au contact d’enfants, dès lors qu’il a été condamné pour des faits aussi graves que la pédophilie ou la pédopornographie, ne peut plus exercer au contact des enfants », a ajouté Najat Vallaud-Belkacem.
France TV Info