Selon une étude de l’hôpital parisien Necker, le confinement covidiste et la propagande ultra stressante des autorités sanitaires ont augmenté de manière dramatique le risque de maltraitance des enfants avec une explosion de la mortalité du syndrome des bébés secoués sans oublier les séquelles à vie que garderont les survivants ! Les covidistes sont responsables de ce massacre par leur peur panique irrationnelle et leur volonté de confiner toujours plus longtemps alors qu’ils savent que ça ne sert absolument à rien.
De sa petite fille Rose, il ne reste à Marie Fonteneau-Morana que les photos des premiers mois de sa vie.
Rose, 6 mois, était gardée la journée par une assistante maternelle. En juin 2018, ses parents ont été appelés par un hôpital parisien. “15h17, mon mari m’appelle pour me dire qu’il y a un problème, que Rose est prise en charge par le Samu et qu’on doit aller à Necker. Il me dit ‘Elle est intubée'”, raconte la mère. À l’hôpital, le personnel soignant évoque le syndrome du bébé secoué. Les parents se sont rangés à l’avis du corps médical et ont arrêté les soins. Rose est décédée le 9 juin 2018. L’assistante maternelle a avoué les faits et a été condamnée en justice à 15 ans de prison.
32 bébés secoués en région parisienne en 2021
Depuis, Marie-Fonteneau-Morana a rejoint le combat d’Aude Lafitte pour que le syndrome du bébé secoué soit mieux repéré. Aude Lafitte demande plus de prévention. « Chaque couple qui sort de la maternité doit être sensibilisé à la question et recevoir de la prévention. Dire que cela existe et dire les conséquences : que c’est une maltraitance, que cela peut tuer l’enfant et que si cela ne le tue pas cela peut avoir des séquelles à vie », estime-t-elle. Quatre ans après le décès de sa fille, la douleur est toujours vive pour Marie Fonteneau-Morana. En 2021, en région parisienne, 32 bébés sont décédés après avoir été secoués. Il s’agit d’un chiffre en très forte augmentation.
A. Guery, F. Le Moal, J. DurandFrance Télévisions
31 août 2022