Ce virus existe en Afrique depuis très longtemps et il touchait quasiment autant d’hommes que de femmes sauf qu’aujourd’hui en France, sur 3 721 cas à ce jour, il n’y a que 71 femmes, ce qui est véritablement une anomalie statistique qui doit avoir une explication logique.
Est-ce que la vaccination anti Covid-19 joue un rôle dans ce cas précis ? Est-ce les pratiques sexuelles des malades qui expliquent cette disparité ? Si c’est le cas, une campagne de prévention massive et ciblée doit être mise en place immédiatement. Dans tous les cas, à ce jour, aucune mortalité constatée en France, il n’y a pas de quoi faire paniquer 67 millions d’habitants et pousser les gens à se faire injecter des produits non conçus pour ce virus et de surcroît périmés depuis des années !
Une chose est certaine, avec une mortalité égale à zéro depuis le mois de mai, cette maladie ne représente pas du tout une grave problématique de santé publique puisque la contagiosité est quasiment égale à zéro. On ne comprend donc pas pourquoi il y a eu autant de propagande, pourquoi avoir terrorisé à ce point toute la population pour une maladie si peu dangereuse ?
Point de situation en France
Au 06 septembre 2022 à 12h00, 3 721 cas confirmés biologiquement ont été recensés en France.
La répartition des cas confirmés par région de résidence (ou par région de signalement lorsque la région de résidence est inconnue) est présentée en figure 1. La région Ile-de-France concentre le plus grand nombre de cas (2 279, soit 61%), suivie de l’Occitanie (303 cas), de l’Auvergne-Rhône-Alpes (243 cas) et de la Provence-Alpes-Côte d’Azur (242 cas) ; 20 cas résident à l’étranger.
Pour 1 094 cas confirmés (29,6%), la région de résidence n’était pas connue et a été remplacée par la région de signalement.
La très grande majorité des cas confirmés adultes recensés à ce jour sont de sexe masculin sauf 71 (1,9%) cas de sexe féminin. Le nombre de cas confirmés rapportés chez des femmes est faible (maximum de 12 cas signalés en semaine 34), mais la proportion de ces cas augmente sur les dernières semaines. Parmi l’ensemble des cas confirmés déclarés en semaine 35 (données non consolidées), 6,1 % sont des femmes (vs 7,5% en semaine 34 , 5,3% en semaine 33 et 2,9% en semaine 32). Ces données portent sur un faible nombre de cas, dans un contexte de diminution du nombre total de cas confirmés depuis plusieurs semaines, elles doivent donc être interprétées avec prudence.
Neuf enfants de moins de 15 ans ont été déclarés. Les cas adultes ont un âge médian de 36 ans ; 25% des cas adultes ont moins de 29 ans et 25% ont de 43 à 81 ans.
Parmi les cas pour lesquels l’information est disponible, 76 (3%) ont été hospitalisés du fait de leur infection au virus Monkeypox, cette proportion reste stable dans le temps.
Aucun décès n’a été signalé à ce jour.
La distribution des cas confirmés selon la date de début des symptômes (lorsque celle-ci est connue) est présentée en figure 2. La date de début des symptômes des cas s’étend entre le 7 mai et le 1er septembre 2022. Compte tenu des délais de déclaration, les données des dernières semaines ne sont pas consolidées.
Les déclarations reçues ne mentionnent pas toujours la date de début des symptômes. En alternative de cette information, la distribution des cas selon leur date de signalement est présentée en figure 3.
Ces données suggèrent que le pic de contaminations a eu lieu fin juin/début juillet et que le nombre de cas confirmés a tendance à diminuer depuis mais pourrait se stabiliser. Il faut néanmoins rester prudent car la période estivale a pu entrainer des retards au diagnostic et à la déclaration. De même, certaines personnes peuvent ne pas avoir eu recours aux soins. Plusieurs autres pays, notamment en Europe, observent également un ralentissement voire une diminution du nombre de nouveaux cas confirmés déclarés au cours des dernières semaines…