Il est toujours utile de rappeler les événements récents car il y a tellement d’informations, chaque jour, que les gens oublient très vite à quel point ceux qui nous dirigent sont mauvais, d’une incompétence crasse spectaculaire. Voyons ici le cas d’Alain Fischer, le Monsieur vaccin du gouvernement, celui qui a géré, avec tant d’autres médiocres personnages, la crise du Covid-19 en France.
Comme constaté sur l’image à la Une, alors que de nombreux pays ont suspendu l’utilisation de ce poison aux effets indésirables graves, voire mortels, Alain Fischer continuait sa propagande sans aucune retenue, de manière totalement irresponsable, afin de fourguer des doses d’AstraZeneca ! Pourtant, au Royaume-Uni les cas de caillots sanguins se sont multipliés dont 32 mortels, au minimum ! Curieusement, ça n’inquiétait pas Alain Fischer outre mesure, pour lui tout allait bien, il fallait continuer à injecter ne serait-ce que les plus âgés comme s’ils étaient les poubelles de l’industrie pharmaco-chimique.
Avant cette hystérie covidiste, 3 cas de caillots sanguins – même pas mortels – auraient conduit à la suspension immédiate de la commercialisation du produit. Aujourd’hui, vous pouvez en comptabiliser des milliers, rien n’y fait, ils continuent le massacre. D’ailleurs, faut-il rappeler que ce produit a été interdit totalement dans certains pays mais autorisé chez les plus de 50 ans dans d’autres ! Comment expliquer cette différence, scientifiquement, avec des arguments ? C’est tout simplement impossible, cela n’a rien à voir avec la science mais plutôt avec le degré de corruption des décideurs. Heureusement, les gens ne sont pas assez stupides, ils ont décidé de refuser cette injection, ce qui a conduit les autorités à jeter des millions de doses périmées.
Malgré ce ratage spectaculaire d’une rare violence qui démontre l’incompétence d’Alain Fischer, qui n’en est pas à sa première bourde puisqu’il avait nié l’existence des effets indésirables sur le cycle menstruel, il est toujours là en train de blablater encore et encore sur des médias complices.