Vidéo pédagogique intéressante qui revient sur l’escroquerie climatique et les différentes failles du discours pseudo scientifique de la Doxa. Les grandes questions qui résument parfaitement cette escroquerie sont traitées de manière claire. Que ce soit l’arnaque du CO2, sa concentration dans l’atmosphère et son importance dans le réchauffement climatique, ou tout simplement les prédictions apocalyptiques hasardeuses du Giec… les arguments sont nombreux pour détricoter cette mascarade gigantesque qui aura des conséquences dramatiques dans un futur proche sur le psychisme des populations avec ce terrorisme climatique qui ne fait qu’augmenter l’éco-anxiété et, bien entendu, beaucoup plus grave encore, une explosion de la dette avec un transfert gigantesque historique de richesse vers les mondialistes, après avoir imposé une société digitale du contrôle total.
Il me semble que l’argument le plus important est le plus pertinent reste la mise en place des modèles mathématiques prédictifs – théoriques – complètement bidons et qui ne correspondent absolument pas à la réalité de l’atmosphère terrestre et des centaines de facteurs qui interviennent dans le climat. Pour être conscient de la complexité de la tâche, il est impossible mathématiquement et matériellement, avec un système informatique, d’arriver à prédire quoi que ce soit car il y a beaucoup trop de variables. C’est pour cela d’ailleurs qu’il n’hésite pas à tricher tout au long du processus en manipulant les données de leur système prédictif par des « réglages » afin de correspondre au réel car le modèle mathématique n’y arrive pas. C’est ce que fait un graphiste avec Photoshop lorsqu’il veut améliorer la photo du top model en enlevant tous les points disgracieux ; nous sommes de fait très loin de la science et de l’infaillibilité des mathématiques.
C’est le même délire, encore une fois, que les modélisations mathématiques covidistes qui ont brillé par leurs bêtises. Tout ceci n’est rien d’autre qu’une stratégie de maquillage du mensonge par l’argument massue de la science infaillible, dans un paradigme positiviste progressiste.