Effectivement, nous ne sommes plus dans un État de droit, ce n’est même plus un pays, la France est devenue un grand n’importe quoi car elle est dirigée par des voyous et des criminels sans foi ni loi, totalement dépourvus de morale. Non seulement les forces de l’ordre arrachent des mains mais en plus elles empêchent les secours d’arriver pour soigner les blessés ! Ce sera quoi la prochaine étape, tirer sur les ambulances, à la manière israélienne, au prétexte que les ambulances transporteraient des armes ? Deux jeunes étaient déclarés en « urgence absolue » et plusieurs étaient tombés à l’eau et pourtant la préfecture a préféré empêcher les pompiers d’intervenir mettant en danger des vies humaines !
Clairement, tout ceci est un choix politique de terrorisme des populations afin de les empêcher de protester, de manifester ou tout simplement de se rassembler ! Macron ainsi que les véritables décideurs qui l’ont mis au pouvoir savent que ce cirque ne peut durer trop longtemps, du coup ils essaient de terroriser le maximum de personnes par la violence.
Il existe clairement aujourd’hui des hauts fonctionnaires totalement irresponsables et au comportement extrêmement dangereux pour la sécurité et la santé publique. Dans n’importe quel autre pays démocratique les sanctions seraient tombées avec une grande sévérité, mais pas en France. Dans n’importe quel autre pays démocratique les médias auraient parlé de ce scandale, mais pas en France. en France, les politiciens préfèrent légiférer sur le port du voile musulman et les médias leur servent de caisse se résonnance et de relais de propagande, au quotidien. Pendant ce temps, une société de plus en plus dictatoriale est en train d’être mise en place avec le vote de lois toujours plus liberticides.
Lors de la free party organisée à Redon les 18 et 19 juin, les gendarmes ont gravement blessé des teufeurs, dont un a eu la main arrachée par une grenade.
Les pompiers, qui auraient pu intervenir pour secourir des jeunes dans un état sanitaire dramatique, en ont été empêchés par la préfecture.
« J’ai honte d’être pompier. Un jeune risquait de mourir. Nous le savions. Mais nous ne pouvions pas intervenir. » Lors de la free party qui s’est déroulée les 18 et 19 juin à Redon (Ille-et-Vilaine), un jeune homme de 22 ans a perdu sa main. D’autres ont été gravement blessés. Mais, selon les documents et témoignages recueillis par Mediapart, la préfecture a bloqué les pompiers à l’entrée du site. Mettant ainsi des vies en danger…
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30 juin 2021