Il y a tellement d’arguments à opposer aux déclarations d’Alexandre Astier que l’on ne sait pas par où commencer. Faut-il faire remarquer l’arrogance avec laquelle il multiplie les âneries avec un sourire béat ! Cet acteur et humoriste parisien devrait se cantonner à ses compétences et ne pas trop sortir de ce cadre. Sa principale erreur est de confondre théorie et pratique, ce qui est assez grave. Certes sur le papier la voiture électrique est un choix préférable à la thermique mais dans le monde réel ce n’est pas possible.
Si on devait choisir un seul argument pour appuyer notre démonstration, on prendrait celui de la production d’électricité. On va éviter de parler des mines africaines qui détruisent l’environnement local et participent à la corruption. On va éviter de parler également des centaines de milliards d’investissements nécessaires pour la mise en place d’un parc automobile de 40 millions de véhicules électriques. On ne va pas non plus parler de sécurité et d’explosions des batteries électriques qui produisent un feu que les pompiers ne savent pas éteindre à ce jour. On va également éviter de parler du temps nécessaire à la recharge qui transformerait les chassés-croisés de l’été en guerre civile ! On va juste prendre comme argument la quantité d’énergie nécessaire à la recharge des véhicules au quotidien, il faudrait doubler le nombre de centrales nucléaires françaises ! Étant donné l’explosion de l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui elle aussi est extrêmement énergivore, c’est techniquement impossible d’y arriver. Nous vous laissons en bas de cet article le loisir de consulter la conférence de Besançon dans laquelle il était question justement de l’escroquerie de la voiture électrique.
Ce n’est pas la première fois que ce monsieur s’aventure sur des territoires qu’il ne contrôle pas par manque de lectures. Il a également pour manie de parler régulièrement de religion et de Dieu en affirmant que ce Dernier n’existe pas avec des arguments d’une rare stupidité, d’une légèreté inouïe. Toujours avec le même type de sourire, de certitude et d’arrogance, inversement proportionnelle à ses connaissances.


























