C’est assurément une victoire supplémentaire pour les victimes des effets secondaires graves des vaccins, qui laisse néanmoins un arrière-goût amer étant donné qu’il a fallu à ce monsieur, victime du vaccin contre l’hépatite B et atteint d’une sclérose en plaques, plus de 17 ans pour gagner son procès contre le laboratoire Sanofi. Sachant que ce dernier va se pourvoir en cassation, la procédure va encore traîner quelques années. Vous comprenez donc qu’il y a une anomalie dans le système judiciaire français, car on ne peut pas estimer qu’un tel délai soit normal, d’autant que la victime est gravement malade et qu’elle a besoin d’argent pour adapter son environnement à son handicap.
Nous pouvons constater une deuxième anomalie intellectuelle et morale qui consiste à relaxer le laboratoire Sanofi sur le plan pénal et puis le condamner au civil. Comment est-ce possible intellectuellement ?!
Un arrêt de la cour d’appel de Bordeaux qui reconnaît la responsabilité du laboratoire Sanofi dans l’apparition d’une sclérose en plaques relance le débat.
À une époque où la suspicion relative aux vaccinations ne cesse de grandir, l’arrêt rendu le 23 janvier dernier par la 1ère chambre civile de la cour d’appel de Bordeaux est sans doute appelé à avoir un retentissement national. La juridiction présidée par Élisabeth Larsabal a jugé que la société Sanofi Pasteur, l’un des leaders mondiaux des vaccins, était responsable de la sclérose en plaques dont souffre un ancien peintre chaudronnier de […]
Sud Ouest [France]