Encore un bon exemple à suivre pour les milliardaires Trump qui fabriquent leurs camelotes en Chine à coups de yuans pour les revendre en USA en dollars ou en euros à travers toute l’Europe. Bref, ces hypocrites n’ont rien à voir avec le patriotisme économique, seul l’argent compte.
Selon les informations du quotidien britannique The Guardian, les travailleurs se plaignent d’abus verbaux, de cadences impossibles et de salaires si bas qu’ils doivent vivre loin de leurs enfants.
Elle présente bien Ivanka, avec ses cheveux blonds, sa tête de Barbie et sa ligne impeccable. La fille de Donald Trump est même devenue en miroir, le reflet présentable du président américain, celui qu’on tend pour donner un vernis de maîtrise à une présidence échevelée. Mais depuis quelques mois, le bateau prend l’eau. Plusieurs révélations sur les usines chinoises de la conseillère à la Maison Blanche ont fait scandale. Donald Trump prônant l’achat nationaliste, alors que sa fille fait fabriquer sa marque en Chine. Ce mardi, le quotidien britannique, The Guardian, vient de frapper un grand coup en révélant les conditions de travail misérable des employés d’Ivanka Trump en Indonésie.
Des conditions de travail déplorables
La réalité de ces usines de fabrication de vêtements, labellisés Ivanka Trump, a été mis à nu. Des employées ont fait état de leur salaires si bas qu’ils sont obligés de vivre loin de leurs enfants, qu’ils subissent des pressions pour ne pas se marier et que les femmes se voient offrir des bonus si elles ne prennent pas de pause pendant leurs règles.
Le Guardian a parlé à plus d’une douzaine de salariés de la marque à Subang en Indonésie où les employés affirment décrivent être payés au-dessous des salaires minimum en Asie et se plaignent des cadences insoutenables de production. Ses plaintes arrivent une semaine seulement après la disparition des militants du parti travailliste, après qu’ils ont mis au jour les abus dans les usines chinoises Ivanka Trump qui fabriquent des chaussures. Ces activistes avait dénoncé les violations du droit, incluant des salaires plus bas que le salaire minimum en Chine, des violations des droits des femmes, et des harcèlement verbaux.
Dans l’usine indonésienne certaines […]
Delphine Perez – Le Parisien