Article du Parisien du 10 janvier 2023, à la page 15, nous apprenons que l’année 2022 comptabilise un record de mortalité aussi important que celui de 2020 en pleine épidémie censée tous nous tuer. Il y a comme quelque chose qui cloche, ça ne colle pas. D’autant que les professionnels des crématoriums ont annoncé ces derniers jours vivre une période historique jamais vue depuis une dizaine d’années avec une explosion des décès, une impossibilité de réaliser les crémations dans les délais légaux de 6 jours qui ont quasiment doublés. Oui, il y a véritablement quelque chose qui cloche et c’est l’auteur de l’article lui-même, Nicolas Berrod, qui le dit : “Avec l’arrivée des vaccins, on aurait pu s’attendre à un bilan 2022 moins lourd. Ce ne sera donc pas le cas.” Bien entendu, ce dernier, habitué des plateaux télé, n’avouera jamais qu’il pourrait y avoir un lien entre ces morts et les effets indésirables des injections d’ARN messager. Il n’est même pas capable d’avouer qu’in fine ces injections sont au moins inefficaces et ne protègent pas contre la mort ! Pourtant la situation est gravissime, il s’agit de dizaines de milliers de décès supplémentaires. Ils sont capables de remuer ciel et terre, changer la loi, transformer notre société en la fliquant pour un attentat terroriste mais dès qu’il est question de dizaines de milliers de décès, il n’y a pas d’enquête judiciaire. On peut également se poser la question des effets du confinement et du retard dans le traitement de nombreuses maladies graves ainsi que la destruction de l’hôpital public et le décès de centaines de personnes dans les services d’urgences incapables de les prendre en charge !
Mais le plus inquiétant reste le dernier paragraphe de cet article concernant “l’effet moisson”. L’auteur du papier nous explique qu’il n’y a pas eu d’effet moisson cette année, du moins il essaie de nous embrouiller dans une explication vaseuse assez incompréhensible. En réalité l’effet moisson s’est déroulé en 2020 étant donné que l’âge moyen des décès est au-dessus de l’espérance de vie des Français. Donc, on pouvait s’attendre à ce qu’il y ait moins de morts en 2022 étant donné qu’il y a eu un maximum de décès en 2020, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
Maintenant, on aimerait inviter Monsieur Nicolas Berrod à lire son propre journal du 9 janvier 2013 à la page 22 dans laquelle on apprend qu’un footballeur camerounais de 40 ans est décédé d’une crise cardiaque ! On pourrait multiplier ces exemples par 1000 – voire plus – puisqu’ il est devenu tout à fait normal en 2022 de décéder jeune et en parfaite santé d’une crise cardiaque ou d’un AVC ! On suppose que 2023 nous réserve exactement le même carnage avec une augmentation des décès puisque les effets indésirables sont beaucoup plus graves avec la multiplication des doses.
Enfin, concernant la canicule, nous avons la démonstration que cet argument est totalement faux car dans des pays du Nord où la température n’atteint pas le seuil des 40 °C, les pays qui ont bien entendu injecté leurs populations en masse, comptabilisent exactement le même excès de mortalité, allez savoir pourquoi…
Les chiffres ne sont pas tout à fait définitifs, mais ils permettent déjà de dresser le bilan de l’année écoulée.
Et celui-ci s’annonce lourd. 654 492 décès ont été recensés du 1er janvier au 24 décembre 2022 en France, d’après les données provisoires communiquées par l’Insee vendredi 6 janvier. C’est beaucoup plus qu’en 2019 (+ 8,9 %), autant qu’en 2020, et davantage qu’en 2021 (+ 1,2 %) sur la même période…
Photo d’illustration : Des soignants ferment un cercueil contenant le corps d’un patient décédé du Covid-19, à l’Hôpital Bichat à Paris. AFP/Joël Saget
9 janvier 2023