Voici le résultat direct d’années de propagande et d’islamophobie politico-médiatique dont sont responsables les élites parisiennes. On nous affirme que ce n’est pas vrai, que c’est une stratégie fréristes. Pourtant la cour d’assises est là pour démontrer l’inverse. À force de taper sur les musulmans, à force de libérer la parole violente et le mensonge comme le fait le sayan Zemmour quotidiennement depuis des années, le système a poussé au passage à l’acte les plus fous. C’est extrêmement grave et pourtant ils continuent de le faire sur C8, CNEWS et tous les autres médias de Bolloré. C’est un travail méthodique réalisé par le lobby sioniste au service de Tel-Aviv.
Ce n’est pas la seule affaire
La France a connu d’autres affaires de terrorisme d’extrême droite ciblant les musulmans. Une autre cellule terroriste voulait tuer des musulmans, empoisonner la nourriture halal dans les supermarchés avec de la mort aux rats… Mais non, l’islamophobie n’existe pas disent-ils !
« Si vous en êtes à lire ici, c’est probablement que vous avez décidé comme moi et d’autres de prendre part aux actions violentes. » Ces mots ont été écrits par Alexandre Gilet dans un manifeste d’une trentaine de pages listant « les techniques d’opérations pour faire un maximum de dommages en un minimum de temps ». Les cibles ? « Manifestation des rouge » ou « prières des radicaux » (illustrées par une image montrant des fidèles musulmans), notamment. Un manuel d’action terroriste d’extrême droite qui, couplé à quantité d’éléments matériels, a valu à ce gendarme adjoint volontaire âgé de 22 ans au moment des faits, en 2018, une peine de dix-huit ans de réclusion criminelle. Alexandre Gilet a fait appel de cette décision prononcée en juin 2023, à l’issue du premier procès pour terrorisme d’extrême droite à se tenir devant une cour d’assises depuis que cette menace s’est réveillée, au lendemain des attentats jihadistes de 2015. Son nouveau procès s’ouvre ce lundi 16 septembre.
Cette fois, Alexandre Gilet sera seul. L’an passé, ils étaient quatre à comparaître devant la cour d’assises des mineurs spécialement composée du tribunal de Paris, l’un d’eux étant âgé de 17 ans au moment des faits. La cellule a été baptisée « Waffenkraft » (« puissance de feu …)
16 septembre 2024