Histoire très curieuse que l’on n’a du mal à croire. Tout ceci afin de faire croire au peuple que tout est sous contrôle pendant que quelques délinquants détournent l’argent public à des fins personnelles…
ARGENT PUBLIC — Sous le feu des projecteurs lors de son ouverture au printemps 2014, un centre de déradicalisation de Seine-Saint-Denis va fermer ses portes. Un ancien employé a dénoncé dans un livre son « inefficacité et ses pratiques véreuses ».
Il y a un peu plus de deux ans, la Maison de la prévention et de la famille représentait le parfait exemple de l’action du gouvernement pour lutter contre la radicalisation. Encensé par le ministère de l’Intérieur, dont il recevait les subventions, ce centre était dirigé par Sonia Imloul.
L’objectif était « de soutenir psychologiquement les familles des jeunes partis faire le djihad, et assurer le suivi de ceux qui se radicalisent en France. »
Dans son livre Cellules de déradicalisation : chronique d’une désillusion, un ancien employé de ce centre, Julien Revial, raconte « l’envers du décor ». Valeurs actuelles explique que Sonia Imloul, la directrice, « affirmait parfois qu’elle est juriste, une autre fois psychologue, encore une autre policière, en fonction des besoins de la situation. »
Julien Revial raconte l’emballement médiatique autour de cette structure en laquelle tout le monde veut croire. « Un mois après notre emménagement, nous avions déjà reçu cinq organes de presse et seulement deux familles » raconte-t-il. Le gouvernement ne dit rien :
« Pour eux, nous étions un laboratoire médiatique bien utile ».
Alors que Sonia Imloul raconte à tout le monde que la maison fonctionne « presque 24 heures sur 24 » grâce aux sept employés embauchés (ce qui lui aurait permis de recevoir déjà une trentaine de familles), il donne une autre version : « Nous avons mené au total trois démarches de prévention de la radicalisation. (…) [Nos effectifs] n’ont jamais dépassé cinq ou six personnes en nous comptant, Sonia et moi, ainsi que notre unique psychologue stagiaire ».
Aujourd’hui visée par une enquête judiciaire, la maison ne reçoit plus de subventions publiques.
Sa directrice devra se justifier de certaines pratiques douteuses, comme le fait d’avoir utilisé l’argent public pour un usage annexe, celui de locations étudiantes puisque une partie des locaux sensés combattre la radicalisation islamique était en réalité sous-louée à des étudiantes. Sans compter que l’adresse du centre devait rester secrète pour des raisons de sécurité.
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