Nous sommes tout de même avec cette affaire de contrat – pour une somme astronomique de 35 milliards d’euros – négocié en catimini, en secret via des SMS, au centre de l’escroquerie et de l’entourloupe la plus folle de toute l’histoire de l’humanité ! C’est à peine croyable et pourtant c’est ce qui s’est passé au niveau de l’Europe ! Une plainte en constitution partie civile a été déposée au tribunal de première instance de Liège par un citoyen belge contre Ursula von der Leyen pour « usurpation de fonctions et de titre », « destruction de documents publics » et « prise illégale d’intérêts et corruption ».
Des journalistes américains ont également fait la même chose car il n’y avait aucune possibilité d’avoir accès à ces contrats tenus secrets. Ceci est la démonstration définitive de l’escroquerie covidiste car si ces injections magiques qui ont sauvé des millions de personnes étaient si vitales et indispensables, les contrats seraient publics, transparents et personne n’aurait besoin de les cacher à ce point, quitte à ridiculiser et à discréditer toutes les institutions européennes. Tout ce qui est légal et bénéfique à l’ordre public et à la société doit se faire à ciel ouvert et certainement pas en secret. En général, ne sont tenus secrets que les actes délictueux voire criminels. Le fait même d’avoir effacé ses SMS démontre la préméditation et la corruption d’Ursula von der Leyen. Faut-il également rappeler le scandale du Qatar gate qui démontre à quel point les instances européennes sont corrompues par l’argent facile.
Faut-il rappeler que la Cour des comptes européenne a confirmé le piétinement des règles de négociation fixées par la Commission, par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l’acquisition de vaccins contre la COVID-19. »
En réalité, on imagine aisément pourquoi ces contrats sont tenus secrets, ils contiennent certainement des clauses inacceptables. Notamment au sujet des quantités achetées qui sont 10 fois supérieures aux besoins. Les pays se retrouvent à jeter des millions de doses périmées et en même temps sont obligés d’en commander d’autres !!! On n’a jamais vu une gestion aussi catastrophique des deniers publics, un tel gaspillage, concernant aussi le prix exorbitant de ces injections ! De plus, on imagine que les populations seraient extrêmement choquées d’apprendre à quel point Big Pharma, Pfizer en particulier, se sont protégés pénalement contre toute plainte, surtout suite aux effets indésirables malheureusement nombreux.
La justice belge est saisie d’une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s’être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d’avoir supprimé ces textos.
Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d’instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d’être saisi par un citoyen belge afin d’instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n’est pas anodine puisqu’elle vise les qualifications d’« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».
En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s’être substituée « sans aucun mandat » aux Etats membres de l’UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d’achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d’avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l’anglais to delete, effacer).
Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l’UE
Jusqu’ici, cette affaire avait fait l’objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l’ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 Etats-membres de l’UE. Et, ici, ce n’est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C’est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge…