C’est un cas extraordinaire de négationnisme scientifique et médical. Donc, pour Agnès Buzyn, ex-salariée de Big Pharma, les travaux des Prs Chérin et Ghérardi relèvent des divagations des réseaux sociaux et non de la recherche scientifique de haut niveau sur la relation de cause à effet entre sels d’aluminium présents dans les vaccins et la maladie dite myofasciite à macrophages. Négation totale et entière de la souffrance de milliers de malades, de milliers d’autistes dont personne aujourd’hui n’est capable d’expliquer le pourquoi de l’épidémie et du comment soigner ces enfants lourdement handicapés ! Ces gens sont dangereux pour le peuple, de par leurs décisions irrationnelles et leurs liens d’intérêts avec l’industrie…
Pour rester dans le droit, il est essentiel de rappeler les dispositions de l’article 36 (article R.4127-36 du code de la santé publique) se rapportant au consentement de la personne examinée ou soignée. Cet article écarte de façon claire toute velléité d’une quelconque obligation.
Agnès Buzyn estime que les craintes exprimées par des associations et certains médecins relèvent de l’« irrationnel », y compris les sels d’aluminium.
Les adjuvants utilisés dans la fabrication des vaccins « ne sont pas nocifs », a assuré mercredi la ministre de la Santé Agnès Buzyn, qualifiant les craintes exprimées par des associations et certains médecins de «désinformation» des réseaux sociaux. Au centre de la polémique figurent les sels d’aluminium, alors que onze vaccins vont devenir obligatoires en 2018 pour la petite enfance contre 3 actuellement.
« Vous dites: Pouvons-nous trouver des adjuvants moins nocifs ? Mais ils ne sont pas nocifs pour la santé, tous les rapports le montrent », a-t-elle répondu, lors de la séance des questions au gouvernement, à la députée Frédérique Tuffnel (REM). « Nous sommes dans l’irrationnel le plus total. Nous travaillons aujourd’hui à lutter contre les réseaux sociaux et à lutter contre la désinformation », a ajouté la ministre.
Le Parisien