
Voici la preuve que les réseaux sont plus puissants que les partis politiques, puisque les ténors du PS qui se doivent de suivre la ligne du parti et la décision démocratiquement exprimée par les votants de la primaire préfèrent suivre le candidat bankster, poulain de Rothschild, Emmanuel Macron. Si on comprend bien, au départ, ils étaient pour Valls, mais comme leur poulain a perdu à plate couture, ils choisissent un autre candidat idéologiquement proche du leur.
Ceci est une trahison gravissime et même une double trahison, car ils ont déjà trahi le peuple en acceptant de gouverner dans l’équipe de Valls violant toutes les promesses de campagne de F. Hollande en 2012. Ces gens-là n’ont aucune conviction politique, ne respectent aucune règle ; ce sont des mercenaires grassement payés pour faire ce que d’autres leur ordonnent de faire. Cette situation historique le démontre parfaitement et nul besoin d’argumenter davantage pour le démontrer.
Le vainqueur de la primaire de la gauche lance officiellement sa campagne, dimanche, à Paris.
Certaines figures du PS ont déjà déclaré qu’elle ne seraient pas présentes.
Le rassemblement de la gauche s’annonce difficile en vue de la présidentielle. Benoît Hamon, vainqueur de la primaire organisée par la Belle Alliance populaire, prononcera son discours d’investiture, dimanche 5 février, à La Mutualité à Paris. Mais des poids lourds du PS brilleront par leurs absences.
A commencer par l’autre finaliste du scrutin : Manuel Valls, qui préfère prendre des vacances. “Il n’y sera pas”, a indiqué, lundi 30 janvier, un des proches de l’ancien Premier ministre. “Il va prendre quelques congés pour retrouver ses proches. L’heure pour lui est au recul, à la réflexion.” Il doit réunir toutefois ses soutiens politiques mardi en début de soirée à Paris.
La tentation Macron
La ministre de l’Environnement Ségolène Royal ne voit elle, “pas l’utilité” pour Benoît Hamon qu’elle assiste à sa convention d’investiture. “C’est l’investiture interne au parti. Je n’en sens pas l’utilité pour lui. Je le lui ai dit d’ailleurs en le félicitant pour sa désignation.”
Le secrétaire d’État chargé du Développement et de la Francophonie, Jean-Marie Le Guen, ne viendra pas non plus applaudir le champion de la primaire de la gauche : ce proche de Manuel Valls l’a annoncé sur BFMTV.