Nouveau scandale assez grave : Ursula von der Leyen qui vient d’être invitée 3 jours chez le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis (à la tête du gouvernement de père en fils), impliqué dans un très grave scandale d’écoutes téléphoniques de l’opposition et qui pourtant est plébiscité par la patronne de la Commission européenne ! Faut-il rappeler que Kyriakos Mitsotakis est un bankster à l’instar d’Emmanuel macron et qu’il a travaillé pour McKinsey. Ce sont toujours les mêmes figures, les mêmes personnes avec le même CV qui sont mises à la tête des pays occidentaux afin d’accélérer la mise en place de ce gouvernement mondial et de cette dictature planétaire. Il n’y a absolument aucune diversité, c’est toujours la même affaire, la même histoire, les mêmes scandales qui se répètent encore et encore avec le silence complice des médias et de la justice, incapable de réagir.
La récente escapade en Crète de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, invitée par le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis et son épouse, a suscité une vague de critiques.
Von der Leyen et son mari ont entrepris un voyage privé de trois jours sur l’île de vacances grecque, qui s’est terminé le 14 août.
Les détracteurs affirment que les brèves vacances pourraient influencer la position de Bruxelles concernant Athènes.
La question de l’asile est au centre d’une multitude de controverses, notamment un scandale de logiciels espions, un tragique accident de bateau de migrants et des allégations de refoulements illicites de demandeurs d’asile.
L’eurodéputée néerlandaise Sophie in ‘t Veld, particulièrement franche, s’est récemment inquiétée de ce qu’elle a qualifié de silence flagrant de la CE sur toutes ces questions, ainsi que du meurtre non résolu d’un journaliste.
Elle a suggéré que von der Leyen devrait maintenant se distancer des discussions au sein de la CE impliquant la Grèce et son gouvernement.
Von der Leyen et son partenaire se sont envolés pour la Crète suite à une invitation de Mitsotakis. Le Premier ministre de centre droit et sa femme ont accueilli le couple dans la résidence d’été du dirigeant grec située dans la ville péninsulaire d’Akrotiri.
Selon le média local zarpanews.gr , pendant leurs vacances, les couples ont apprécié un dîner composé de spécialités crétoises, le tout avec en toile de fond le pittoresque golfe de Souda. Pendant leur séjour, von der Leyen et son mari ont exploré le musée archéologique de La Canée.
De plus, Mitsotakis a offert au couple une excursion en bateau sur les plages de Sfakia, qui était surveillée par les garde-côtes grecs.
Un point culminant de leur voyage comprenait une pause pour le déjeuner sur la plage de galets de Marmara, située sur la côte sud de l’île.
Ce n’est pas la première fois que von der Leyen courtise les critiques sur ses visites en Grèce.
En 2020, sa présence à la frontière grecque avec la Turquie a provoqué une réaction violente. À l’époque, les autorités grecques déployaient des gaz lacrymogènes pour dissuader les migrants tentant de franchir la frontière. Sa description de la Grèce comme « bouclier » de l’Europe lors d’une conférence de presse lors de la visite a encore intensifié les critiques.
Ces derniers mois, le gouvernement de Mitsotakis a fait l’objet d’un examen minutieux.
Un récent accident tragique où 82 migrants ont perdu la vie en juin a suscité des accusations selon lesquelles leur bateau aurait chaviré à la suite d’une tentative de sauvetage ratée par les garde-côtes grecs, à quelque 45 milles marins au large de Pylos.
L’incident est devenu un sujet brûlant dans toute l’Union européenne. Beaucoup demandent maintenant des enquêtes européennes et indépendantes sur les actions des garde-côtes grecs et de l’agence frontalière de l’UE Frontex.
Malgré le tumulte, une porte-parole de la CE a souligné que le dernier voyage de von der Leyen respectait les directives de la CE en tant qu’entreprise privée. Des sources au sein de la Commission ont réfuté les affirmations selon lesquelles Bruxelles est restée silencieuse sur les logiciels espions, le naufrage et les controverses connexes.