Nous sommes, quant à nous, persuadés que ces manipulations sont le pain quotidien de Google qui monte et rétrograde qui il désire dans la première page de recherche. Il faut savoir que si votre information s’affiche sur les deuxième et troisième pages, elle a très peu de chances d’être lue, car ces pages ont 90 % de chances en moins d’être consultées par les internautes. Il suffira donc pour Google de faire remonter des informations négatives vous concernant, comme c’est le cas pour Monsieur Salim Laïbi et l’article du Point qui arrive en première position, alors qu’il serait beaucoup plus logique que ce soit le site www.lelibrepenseur.org qui arrive en premier, avant le reste.
Cette information est typiquement complotiste et on aurait eu du mal à la sortir sans se faire taxer de « paranoïaque » et de « malade du cerveau », mais ce coup-ci, ce sont les Échos qui publient l’information, ce qui a le don de la faire passer comme une lettre à la poste, allez comprendre pourquoi…
Le « Wall Street Journal » a mis la main sur les e-mails de salariés où ils évoquent l’idée de mettre en avant des contenus contre le décret anti-immigration de Trump.
Voilà qui va encore donner du grain à moudre à Donald Trump. Le « Wall Street Journal » a mis la main sur des échanges d’e-mails entre salariés de Google où ces derniers évoquent la possibilité de mettre en avant certains contenus, au détriment d’autres, dans les résultats du moteur de recherche. Les faits remontent au début de l’année 2017, quelques jours après l’investiture du 45e président des États-Unis. Dès son entrée en fonction,…
NICOLAS RICHAUD – Les Échos