Nous l’avons prédit depuis des années déjà, le parti socialiste est en train de disparaître sous nos yeux car c’était la condition sine qua non à la montée du mouvement de Monsieur Emmanuel Macron. Un débat télévisé qui devait désigner le gagnant de la primaire, celui qui présidera le parti socialiste, n’a attiré qu’à peine 200 000 personnes sur la chaîne LCI ! Absolument tout est dit. Les réseaux occultes qui contrôlent la France et sa politique font ce qu’ils veulent, ils modèlent l’échiquier politique à leur guise. Ils peuvent créer de toutes pièces un mouvement comme LREM ou en faire disparaître un autre qui est là depuis 80 ans. Leur force de frappe médiatique est si importante, qu’ils peuvent se permettre d’accomplir ce genre de miracles…
Début 2017, les trois premiers débats de la primaire PS élargie avaient attiré respectivement 3,8 millions de téléspectateurs pour le premier, 1,7 million pour le deuxième, 3,1 millions pour le troisième.
Le débat entre les quatre candidats à la tête du PS a attiré 204.000 téléspectateurs en moyenne sur LCI mercredi soir, soit moins de 1% des téléspectateurs sur cette tranche, a indiqué la chaîne jeudi. LCI était la chaîne d’information la plus regardée mercredi entre 21h et 22h50 et a multiplié par quatre son audience habituelle sur ce segment du début de soirée. Le débat, qui était également diffusé sur RTL, a atteint un pic d’audience à 21h29 avec 260.000 téléspectateurs.
5,5 millions pour le débat entre Valls et Hamon. pour le Début 2017, les trois premiers débats de la primaire PS élargie avaient attiré respectivement 3,8 millions de téléspectateurs pour le premier (diffusé sur TF1 et RTL), 1,7 million pour le deuxième (BFMTV-iTELE-RMC), 3,1 millions pour le troisième (France 2-Europe 1). A l’issue du premier tour du scrutin, l’ultime débat de la primaire entre Manuel Valls et Benoît Hamon, le 25 janvier, avait été regardé par 5,5 millions de personnes sur TF1 et France 2.
Un vote les 15 et 29 mars. Les quatre candidats à la tête du PS, Stéphane Le Foll, Olivier Faure, Luc Carvounas et Emmanuel Maurel, débattaient à huit jours du premier tour du scrutin, avec l’espoir de convaincre les militants de venir voter les 15 et 29 mars.
Europe 1 / AFP