Quoi que fasse le Valls ces derniers jours, il ne fait que s’enfoncer de plus en plus dans un délire absurde dans lequel il démontre à chaque fois le degré avancé de sa bêtise profonde. Parler de “méchanceté” dans ce milieu de requins et de voyous est totalement inapproprié et relève du langage de gamin immature.
L’ancien Premier ministre a tenu des propos violents envers le nouveau président de la République, qui lui a refusé l’investiture aux élections législatives.
Manuel Valls règle ses comptes avec Emmanuel Macron et François Hollande. Au terme d’une semaine marquée par le rejet de son investiture aux élections législatives sous la bannière de La République en marche, l’ancien Premier ministre, interrogé dans le JDD, s’est dit « extrêmement lucide sur Macron et sur son équipe ». « Hollande est méchant, mais dans un cadre. Macron, lui, est méchant, mais il n’a pas de codes, donc pas de limites », affirme le député PS de l’Essonne.
Quant à la décision d’Emmanuel Macron et du mouvement présidentiel La République en marche de ne pas investir de candidat face à lui aux législatives, sans pour autant l’investir lui-même, « il n’y a rien de magnanime dans cette histoire », juge encore l’ancien Premier ministre. « On joue jusqu’au bout, on l’humilie, on l’isole, le tout pour finir par une solution de compromis », affirme-t-il à propos de lui-même. « Mais ils l’ont fait de manière tellement appuyée que ça s’est retourné contre Macron. C’est devenu le cas Valls », dit l’ancien chef de gouvernement. « Ce n’est pas l’arrogance de Benjamin Griveaux qui va me déstabiliser ! » lance-t-il à propos du porte-parole d’Emmanuel Macron durant la campagne, proche du président élu et ministrable.
Manuel Valls confie avoir « réfléchi à arrêter » après sa défaite à la primaire socialiste fin janvier. Mais « au moment où survient la recomposition que j’ai toujours souhaitée, je vais être spectateur ? Non ! Je veux être dans cette séquence ». Si La République en marche a affirmé qu’elle ne présenterait pas de candidat face à l’ancien Premier ministre, le […]
Le Point/AFP