Le taser vient de tuer une personne. On en parlait il y a déjà quelques années (mai 2008). Un pauvre malien dont le seul tort fut de ne pas avoir de papier ! Il en est mort. La police, grâce à une propagande meurtrière de l’industrie, fait un usage déresponsabilisé de cette arme dangereuse dont le premier risque est de brûler le tissu cardiaque ou nerveux. Sans parler des piles cardiaques ou des femmes enceintes auxquelles on ne demandera jamais avant le tir leur état de santé ! Les accidents se sont multipliés de part le monde avec un nombre très important d’accident graves voire mortels. Reste à savoir si le peuple accepte de se faire traiter comme du vulgaire bétail que l’on électrocute à la moindre incartade…
Le Défenseur des droits demande au ministère de l’Intérieur d’engager des “poursuites disciplinaires” à l’encontre de policiers qui avaient utilisé leurs pistolets à impulsions électrique Taser en 2010 pour maîtriser un Malien sans papiers, décédé lors de son interpellation. Dominique Baudis recommande également “des sanctions disciplinaires” à l’égard de quatre autres agents, “pour avoir exercé des gestes de contrainte disproportionnés” contre la victime dans l’ascenseur de son immeuble, et “n’avoir pas été attentifs” à son état de santé.