Pendant que les musulmans sont sommés de se faire discrets et de raser les murs, d’autres communautés, elles, peuvent occuper l’espace public, chanter et danser à leur guise. Ainsi en ont décidé les politiques français de gauche comme de droite. Il ne s’agit pas d’interdire la célébration de cette fête, il s’agit de dénoncer cette pratique honteuse du deux poids-deux mesures frappant la communauté musulmane. L’histoire s’en souviendra, car c’est une page noire qui est en train d’être écrite.