Un cabinet d’études d’Oxford, — ce qui ne dit pas grand chose, puisque trois acolytes ou complices peuvent s’intituler tels –, vient de publier un tableau psychiatrique du caractère de plusieurs personnalités politiques vivantes et défuntes, et le fait que la plus horrible soit Saddam Hussein, noté à 189 sur l’échelle, démontre assez qu’aucune personnalité du vaste monde sioniste n’y figure : vivons heureux, vivons cachés. N’allons donc pas attribuer le massacre quotidien des Palestiniens ou l’ écrasement et l’affamement des Irakiens et maintenant des Syriens à quelque psychopathie singulière ou générale surtout ! Madame Clinton y a une certaine place, Trump aussi, et comme il n’est pas possible de faire aujourd’hui des études de théologie morale ou de démonologie sans citer, mais dans un sens moins laudateur que le firent des notables intellectuels comme Heidegger ou des chefs de peuple comme Hajj Amin el Husseini ou le prix Nobel de littérature norvégien Knut Hamsun ou l’explorateur suédois Swen Edin qui écrivit un beau livre sur Jérusalem visité en temps de guerre, en 1916, le chef de l’Allemagne dont le suicide est établi, sauf chez les marchands de papier.
On se demande si définir un psychopathe par l’insensibilité à la souffrance infligée ne s’appliquerait pas à ceux qui ont enflammé des villes comme Tokyo ou Hambourg et Dresde, Hiroshima et Nagasaki, mais la raison d’État fait taire l’analyse.
Attaquer maintenant madame Clinton et Trump, elle positionnée à 159, lui à 171, sur cette échelle des malades mentaux politiques, devrait vouloir dire que le système choisirait cette candidate, dont on a relevé aussi qu’elle était sous le signe du Scorpion, prête à enflammer le monde. Il est évident qu’une machine infernale est bien en place, et nos voisins allemands, peuple ordonné, économe et philosophe, organisé, comme on dit, s’occuperait, lit-on dans le Libre Penseur, à faire des provisions, comme la fourmi de la fable, pendant que la cigale rouge française chante dans un perpétuel été républicain !
Hélas, comme l’écrivit une fois Heidegger dans son discours sur la technique : nous sommes entrés dans la nuit d’un long hiver seulement éclairés par les commutateurs électriques, et toute crainte de voir Trump, par exemple, précipiter les États-Unis sur la voie du national-socialisme montre que l’on n’a pas entendu la voix de cette Dara ou Daranowski connue sous le nom de Madame Christian, depuis longtemps décédée, vers la fin du dernier siècle et qui fut une des dernières nombreuses secrétaires du Chef de l’État allemand qui lui aurait répondu à l’un de ses derniers repas, pendant que l’Armée rouge apportait la civilisation que l’on reconnaît dans le Daeschisme actuel, après qu’elle lui ait demandé si le socialisme national allemand ressusciterait, non, sauf que l’on rendrait justice à sa personne dans deux ou trois générations ! Après , bien après l’élection des Trump et des Clinton !
Cela correspondrait bien à une réflexion de l’illustre philosophe Heidegger sur quelques vers du poète souabe Hölderlin, qu'”être guide est un destin terminal!” Ceux qui veulent ainsi soit attaquer un fantôme ou reconstituer une époque qu’ils ignorent, — et cela s’applique aux drapeaux noirs de toutes les branches des fraternités musulmanes ou aux sectaires chrétiens analogues imaginant des saints calqués sur leurs passions de croisés ou de colonisateurs, autrefois, avec l’argent des Lombards et Vénitiens, maintenant avec les crédits de la City londonienne ou de ceux de Wall Street, avec peut-être l’appui des oligarques “russes” ou apparentés, ou aux bouddhistes birmans jouant en Asie le rôle islamicide des communistes serbes en Yougoslavie — versent dans l’utopie, et précisément sont les malades mentaux de l’avenir, du genre de ces révolutionnaires périodiques écumant à Paris et essaimant partout où la foi, fondée sur la conscience morale, se flétrit !
Où sont les authentiques psychopathes, sinon dans ces assemblées promettant la paix au monde, alors que jamais dans toute l’histoire humaine que nous pouvons connaître, car tant de civilisations ont disparu à jamais, nous n’avons eu tant de victimes, de meurtres commis par des militaires, des médecins liés aux laboratoires et des fabricants de pesticides divers, dans une France enfin où les plus hauts taux de suicide se remarquent dans les forces de l’ordre et les paysans ?
Pierre Dortiguier