Encore une nouvelle tentative des bien-pensants et autres imbéciles qui refusent donc aux parents la moindre correction, sous prétexte qu’elle serait dangereuse pour la santé mentale de leur progéniture. C’est pourtant exactement l’inverse que nous vivons quotidiennement : des enfants de plus en plus déséquilibrés mentalement car vivant en dehors de toute structure sérieuse en mesure de les éduquer. C’est aussi la même chose en ce qui concerne l’instruction et l’éducation puisque ces mêmes professionnels incompétents nous expliquent que l’orthographe est trop compliquée et qu’il faudra la simplifier afin que les enfants s’améliorent et obtiennent de meilleurs résultats. Sur le terrain c’est exactement l’inverse que nous constatons puisque l’éducation nationale forme de plus en plus d’illettrés.
Nous avons donc toujours la même stratégie, la même technique sentimentaliste qui consiste à faire croire qu’ils veulent le plus grand bien aux enfants en votant des lois stupides qui conduiront inévitablement à des résultats opposés.
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 26 janvier, pour des raisons de forme, l’interdiction des violences corporelles des parents envers les enfants, comme la fessée.
Cette disposition, inscrite dans la loi Égalité et citoyenneté, avait été contestée par des sénateurs du parti Les Républicains. La disposition qui modifiait dans le Code civil la définition de l’autorité parentale en excluant “tout recours aux violences corporelles” ne présentait “pas de lien” avec le projet de loi initial, selon la décision des Sages. Cette règle civile, dénuée de toute portée pénale, avait vocation à être lue aux couples au moment du mariage.
La France épinglée par le Conseil de l’Europe
Les gifles, les fessées, le fait de tirer les oreilles ou les cheveux… Ces gestes, souvent jugés anodins par les parents, et tolérés par la société, ont des conséquences sur “la santé physique et mentale” des enfants, selon les partisans d’une “éducation sans violence”.
Pour ces derniers (Observatoire de la violence éducative ordinaire, Fondation pour l’enfance …), l’objectif de la loi était “symbolique, pour favoriser une prise de conscience”. Dans leur saisine, le 27 décembre, les sénateurs LR avaient, pour leur part, contesté “l’interdiction des fessées des parents données à leurs enfants”.
La France avait été épinglée en mars 2015 par le Conseil de l’Europe pour n’avoir pas interdit clairement toute forme de châtiment corporel envers les enfants, contrairement à une majorité de ses voisins.
En février 2016, le comité des enfants de l’ONU avait également demandé à la France “d’interdire expressément les châtiments corporels dans tous les milieux, y compris au sein de la famille”.
France TV Info / AFP