Ces chiffres sont monstrueux, ils le sont d’autant plus qu’il n’existe pas de remède encore au cancer et que la mort qui suit cette maladie est terriblement douloureuse ! Une pareille annonce, aussi absurde, ne choque plus personne, tout le monde trouve normal de devoir mourir d’un cancer dans 20 ou 30 ans alors que cela ne devrait pas être le cas. Cette maladie est due à l’empoisonnement immédiat de notre environnement à cause de la modernité et de la technologie : pollution des sols par pesticides, engrais, pollution de l’alimentation par les OGM, hormones, ATB…, pollution de l’air par le diesel, pollution électromagnétique par les relais GSM, le Wifi…
On se demande bien à qui pourront-ils vendre leurs gadgets quand on sera tous morts ! Quel est l’objectif d’un suicide planétaire aussi stupide ?
Dans son rapport présenté jeudi, l’Observatoire sociétal des cancers pointe la hausse des cas chez les personnes âgées.
En cause, diagnostics tardifs et traitements inadaptés.
Un million de Français âgés de 75 ans et plus ont, ou ont eu, un cancer au cours de leur vie. C’est le constat chiffré que dresse le 6e rapport de l’Observatoire sociétal des cancers. Il montre également que près de 700 000 d’entre eux sont en traitement ou suivis pour cette maladie. L’Observatoire dresse également un constat alarmant: avec le vieillissement de la population, d’ici à 2050, le cancer touchera une personne de 75 ans sur sur deux.
Plus d’un nouveau cas de cancer sur trois touche déjà des personnes de plus de 75 ans. Mais selon l’Observatoire sociétal des cancers, elles sont encore trop souvent diagnostiquées tardivement et ne bénéficient pas toujours des traitements les mieux adaptés à leur âge.
Les raisons du diagnostic tardif
L’Observatoire relève plusieurs raisons pour expliquer ce diagnostic tardif chez les plus de 75 ans. Les personnes tarderaient en effet à consulter, en attribuant souvent à l’âge certains de leurs symptômes. Elles peuvent aussi éprouver des difficultés à exprimer ce qu’elles ressentent en raison de la fatigue et/ou de douleurs.
De plus, les dépistages organisés des cancers du sein et du colon ne sont plus proposés à partir de 75 ans. Ce retard au diagnostic réduit les chances de guérison et occasionne des traitements plus lourds, plus difficiles à supporter. Enfin, l’étude montre la faible participation des personnes âgées aux essais thérapeutiques (1 à 2% des 75 à 85 ans seulement) qui limite leur accès aux traitements les plus innovants.
Des propositions pour améliorer la situation
Face à cette situation, la Ligue contre le cancer avance différentes propositions. Elle demande que les efforts portent en priorité sur un diagnostic plus précoce de la maladie et sur l’accès aux meilleurs traitements.
Elle propose également de créer une consultation spécifique, avant 75 ans, pour faire le point avec son médecin traitant sur les facteurs de risque de cancer et les pratiques de dépistages. Enfin, elle souhaite inciter les personnes âgées à […]
L’Express / AFP