Ce ne sont pas les Gilets jaunes qui le disent ni les “complotistes”… mais bien une prestigieuse revue anglaise qui réalise ce classement depuis longtemps. En réalité la situation est bien plus grave et ce 7,99/10 obtenu par la France est une note bien trop élevée…
Si certains se demandent pourquoi, en voici une des causes dans la vidéo ci-dessous. Alors que la jeunesse française est abandonnée, sans avenir, que nos jeunes deviennent fous avec une explosion des maladies psychiatriques, ils ne trouvent rien d’autre à faire que faire voter des lois liberticides et stupides qui font passer la France à l’étranger pour un pays islamophobe !
Interdiction du voile à l’université : “L’université est traversée par des mouvements puissants et destructeurs”, alerte @AnnieGenevard (LR), qui cite “le décolonialisme, le racialisme, l’indigénisme et l’intersectionnalité”.#DirectAN #PJLPrincipesRépublicains #PJLSéparatisme pic.twitter.com/do8r5sSVY5
— LCP (@LCP) February 3, 2021
Via les confinements ou les couvre-feux, la pandémie a obligé de nombreux Etats à limiter les libertés de leur population.
À vrai dire, avec les mesures de confinement, les limitations de circulation, l’instauration des états d’urgence, la fermeture des frontières en raison de la pandémie, le recul des libertés dans près de 70 % des pays dans le monde en 2020 n’est pas une véritable surprise.
Selon une étude du groupe britannique The Economist, lié au célèbre hebdomadaire libéral anglais éponyme, « la pandémie de coronavirus a provoqué un énorme recul des libertés démocratiques, conduisant le score moyen de l’indice à son plus bas niveau historique. »
Ce phénomène est évidemment particulièrement marqué dans les régimes autocratiques d’Afrique ou du Moyen-Orient, mais la « suppression des libertés individuelles dans les démocraties avancées a été le fait le plus marquant de 2020 », explique cette étude.
« L’abandon volontaire de libertés fondamentales par des millions de gens a été peut-être une des occurrences les plus remarquables de cette extraordinaire année […] mais nous ne pouvons pas conclure que le haut niveau d’acceptation des mesures de confinement signifie que les gens dévalorisent la liberté », reprend Joan Hoey, responsable de l’étude en ajoutant : « ils ont simplement jugé, sur la base des preuves qu’éviter des décès catastrophiques justifiait une perte de liberté temporaire. » Même si dans les pays des voix s’élèvent contre ces mesures…