C‘est tout simplement sublime, nous sommes en train d’atteindre le sommet de ce qui peut être décrit comme la plus grande, la plus immense escroquerie, charlatanerie de toute l’histoire de l’Humanité. Nous avons donc ici un ministre israélien de la Santé qui affirme au tribunal qu’il ne retrouve pas l’accord signé entre Pfizer et lui-même ! Pourtant, il affirme avoir cherché partout, avoir ouvert tous les tiroirs, les placards, regardé derrière les meubles, -on ne sait jamais si le dossier est tombé par inadvertance, mais sans succès-, le contrat reste introuvable ! Zut !
N’est-ce pas merveilleux ! Ils sont donc passés à l’étape d’après, celle de la destruction des preuves. Quelle sera la prochaine étape ? Ils vont perdre le ministre lui-même ! On est en train tout de même de parler d’un contrat à plusieurs centaines de millions de dollars ! C’est donc possible de perdre un contrat d’une telle valeur aujourd’hui sans rougir de honte ! Et dire qu’il suffisait d’appeler Pfizer pour leur demander le double ! Faut-il rappeler qu’on nous avait présenté le cas israélien comme un exemple de modernité et d’avancée scientifique à reproduire dans le monde entier !
Anthony Fauci a fait exactement la même chose devant un tribunal US fin novembre dernier en affirmant plus de 170 fois qu’il ne se souvenait plus de rien ! Nous allons assister à des moments d’anthologie ces prochains mois…
Il apparaît aujourd’hui clairement que nous sommes face à la mascarade la plus folle de toute l’histoire de l’humanité et qu’il sera d’ailleurs même impossible de faire pire dans les 10 .000 ans à venir ! On attend avec impatience les explications des zététiciens et autres fact-checkers (Julien Pain, Vincent Lapierre, Thomas Huchon, le Rudy, Thomas Durand…) ! On va se régaler, ça va juste être ‘magique’ comme dirait l’autre…
En 2020, Israël avait reçu en priorité des vaccins du laboratoire Pfizer en échange de données épidémiologiques sur sa population
Le ministère israélien de la Santé a affirmé devant le tribunal qu’il n’était pas en mesure de localiser l’accord signé avec l’entreprise pharmaceutique Pfizer concernant le partage d’informations épidémiologiques sur les vaccins contre le coronavirus, et a même déclaré qu’il ne savait pas si l’accord avait été signé.
En 2020, Israël avait reçu en priorité des vaccins du laboratoire Pfizer en échange de données épidémiologiques sur sa population.
Dans le cadre d’une requête actuellement en cours devant le tribunal de district de Jérusalem, le ministère de la Santé a admis que, bien que des recherches approfondies aient été menées, l’accord signé avec Pfizer concernant les vaccins n’a pas été localisé. “Nous n’avons pas trouvé d’accord signé”, a affirmé l’avocate Ahava Berman du bureau du procureur, au nom du ministère de la Santé. “Nous avons cherché dans tous les endroits, y compris le bureau du PDG et le service juridique”.
L’accord avait été rendu public en janvier 2021, mais une grande partie de ses clauses avaient alors été occultées. Dans l’accord publié, un espace avait été laissé pour la signature du directeur général du ministère de la Santé de l’époque, Hezi Levy, et d’une autre personne de Pfizer, dont le nom a été noirci – mais leurs signatures n’y figurent pas. Dans la réponse du ministère de la Santé au tribunal, il est affirmé que le ministère ne sait en conséquence pas si l’accord a été signé… ou non.
En Israël, plus de 6 millions de personnes ont reçu les doses de vaccin Pfizer.