Cette affaire déjà glauque est en train de prendre des proportions criminelles inquiétantes. On n’est plus en politique ici, mais bien dans une cave sombre aux règlements de compte à la manière ‘ndrangheta… C’est ainsi que se fait la politique en France en 2016 pour le plus grand bien du peuple.
L’ex-employée de la mairie de Draveil (Essonne) a pourtant déménagé et repris son nom de jeune fille…
L’affaire Georges Tron revient sur le devant de la scène. Une des deux ex-collaboratrices de l’ancien ministre, qui a porté plainte en 2011 contre le maire de Draveil dans l’Essonne, affirme avoir reçu trois courriers de menaces dans sa boîte aux lettres, révèle Le Parisien.
Renvoyé aux assises pour viols et agressions sexuelles sur deux anciennes employées de sa mairie, Georges Tron devrait être jugé en septembre 2017, selon le quotidien.
« On sait où tu habites et on peut te fumer et tes enfants aussi »
Les menaces contre cette plaignante sont très explicites. « Le procès va arriver alors si tu veux pas avoir des problèmes, tu arrêtes de faire des problèmes, et c’est mieux pour toi » ou encore : « On sait où tu habites et on peut te fumer et tes enfants aussi ». Un dessin de cercueil illustre même quelques-uns de ces courriers.
La plaignante, qui a déménagé dans le sud de la France et repris son nom de jeune fille, a décidé de porter plainte.
Le maire de Draveil, qui clame son innocence, avait bénéficié en 2013 d’un non-lieu prononcé par les juges d’instruction d’Évry. Mais les plaignantes, Éva Loubrieu et Virginie Faux, deux ex-employées de la […]
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