Les autorités peuvent sans difficultés mettre fin à la diffusion industrielle actuelle de pornographie et ainsi à la destruction de nos enfants qui ont un accès très simple à des millions de vidéos abjectes et dangereuses. Toute personne sérieuse et saine d’esprit sait que la construction d’une femme ou d’un homme dès le plus jeune âge peut être totalement perturbée voire détruite par une consommation de ces produits de subversion massive, pourtant l’État ne fait rien !!! C’est techniquement très simple à faire et pourtant… Il faut croire que les politiciens sont aussi pervers que les réalisateurs et producteurs pornographiques pour les laisser agir et s’enrichir de la sorte toute en détruisant des générations entières !
Cette initiative algérienne est donc à saluer en espérant qu’elle aboutisse et soit copiée par les autres pays.
La ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et des Télécommunications a demandé ce jeudi 22 septembre 2016 à l’APN de réfléchir sur une loi lui permettant de bloquer les sites pornographiques, rapportait l’agence de presse officielle.
Imane-Houda Feraoun répondait à une question orale sur la possibilité de bloquer les accès à ces sites Internet “qui propageant le vice” et qui “appellent à la violence et au racisme”. Elle a regretté que la Tutelle ne dispose pas d’outils législatifs lui permettant de procéder à ce genre d’opérations.
La ministre des TIC a ainsi appelé le législateur algérien à réfléchir sur une loi pouvant permettre à son secteur de bloquer les sites “pornographiques, racistes ou violents, nocifs pour la société”.Évoquant la protection des enfants de ces contenus dangereux, elle a souligné, dans sa réponse orale, que des “outils et techniques, permettent aux parents de contrôler les terminaux mobiles de leurs enfants et les protéger de ces sites”.
Mme. Feraoun a aussi déploré la “ruée massive des internautes algériens sur les réseaux sociaux, qui représentent 80% de la consommation de la bande passante internationale.
Un “véritable danger” qui offre des milliards de dollars aux créateurs de ces réseaux sociaux, au moment où l’Algérie dépense des efforts considérables pour fournir une bande passante suffisante”.
HuffPost Algérie