Ce n’est certainement pas en France qu’une telle déclaration pourrait se faire étant donné que le gouvernement français est complice de la junte militaire corrompue algérienne, on pourrait même dire que c’est lui, le patron de ces criminels. C’est bien l’Élysée qui donne les ordres, qui dirige l’Algérie à distance et qui accueille ses généraux salariés lorsqu’ils sont en fuite afin de leur garantir une certaine liberté et l’accès aux butins pillés au Trésor public algérien, bien caché dans les banques françaises.
Publiée le 30 octobre 2020
ALGÉRIE – Le Parlement canadien condamne à l’unanimité la répression politique et demande le respect des droits humains et la libération des détenus d’opinion et des prisonniers politiques.