Voilà ce qui arrive quand on est dirigés par des incompétents, complices des mondialistes. Après le dernier attentat de Vienne, dont on ne sait encore absolument rien, le chef de la diplomatie italienne, très pressé, propose la mise en place d’un Patriot Act européen qui n’est rien d’autre qu’une loi appelée à durer des décennies et qui va piétiner nos libertés individuelles ! Bien sûr, toute personne possédant un Smartphone sera surveillée, sans son consentement bien entendu, et pour toujours. Au lieu de donner les moyens aux services de renseignements, la surveillance massive sera la règle, avec une efficacité, comme toujours, très faible.
Cette proposition fait référence à la loi antiterroriste adoptée aux États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001.
Le chef de la diplomatie italienne, Luigi Di Maio, a proposé, mardi 3 novembre, un Patriot Act européen, à l’image de la loi antiterroriste en vigueur aux États-Unis, au lendemain de l’attaque qui a fait au moins quatre morts à Vienne. « Il s’agit de prendre des mesures qui pourraient prévenir des tragédies comme celles de Nice », où trois personnes ont été tuées le 29 octobre, « et de Vienne », écrit-il dans une publication Facebook.
« Il s’agit de commencer à penser à quelque chose de plus grand et qui concernerait toute l’UE : un Patriot Act sur le modèle américain par exemple, car aujourd’hui nous sommes tous des enfants du même peuple européen », détaille Luigi Di Maio. Le Patriot Act américain, adopté après les attentats du 11 septembre 2001, restreint un certain nombre de libertés fondamentales et permet une plus grande marge de manœuvre aux agences de renseignement dans les enquêtes antiterroristes.
« La sûreté d’un État est la sûreté de tous les autres. J’en parlerai dans les prochains jours avec mes homologues. Restons unis contre toute forme de terrorisme et de fanatisme », ajoute le ministre des Affaires étrangères italien. « Les problèmes doivent être affrontés. L’UE doit renforcer ses niveaux de sécurité », estime-t-il, évoquant, entre autres, « un renforcement des contrôles sur les mosquées avec la coopération des communautés islamiques et de l’islam modéré qui a toujours condamné » les attentats.
Photo d’illustration : Le chef de la diplomatie italienne, Luigi Di Maio, lors d’une conférence de presse à Moscou (Russie), le 14 octobre 2020. (RUSSIAN FOREIGN MINISTRY / AFP)