Polémique naissante concernant l’ex-site web de la 1ère dame de France, épouse Sarközy, qui a coûté aux contribuables français que nous sommes la coquette somme de 410.000 € !!! Le prix de construction d’un joli bâtiment de 2 étages, pendant que d’autres dorment dans la rue et meurent de froid car il n’y a pas assez de lits…
Les critiques pleuvent depuis quelques jours autour du site Internet de Carla Bruni-Sarkozy, lorsqu’elle était première dame de France, entre 2008 et 2012. Objet de tous les reproches: son coût. Dans un rapport publié le 15 juillet, la Cour des comptes a en effet révélé que ce site Internet avait été financé par le budget de la présidence à hauteur de 410.000 euros entre 2011 et 2012.
Des articles et une pétition
Le rapport porte plus généralement sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République lors de l’année 2012. C’est au détour de la sous-catégorie «autres dépenses de communication» qu’on en apprend davantage sur le financement du site Internet de Carla Bruni-Sarkozy. Il a coûté 330.000 euros à l’État en 2011 et 80.000 euros en 2012, soit un total de 410.000 euros. En revanche, le rapport ne précise pas le détail de ces dépenses. Ces dernières peuvent concerner la maintenance technique, l’hébergement mais aussi les salaires des personnes en charge de la publication des contenus.
Ce n’est pas la première fois que les dépenses de l’État en faveur de Carla Bruni-Sarkozy font débat. En mai, Matignon avait révélé que huit collaborateurs étaient affectés au service de l’ancienne première dame en janvier 2012, pour une rémunération mensuelle nette globale de 36.448 euros. C’est trois fois plus que Valérie Trierweiler, la compagne de François Hollande, qui bénéficie des services de deux agents contractuels et de trois fonctionnaires, le tout pour un total de 19.742 euros par mois. La Cour des comptes a par ailleurs précisé dans son rapport qu’il n’existe plus de site Internet spécifique dédié à la conjointe du président. Valérie Trierweiler dispose d’une simple rubrique à son nom sur le site de l’Élysée, tout comme c’était le cas pour Bernadette Chirac, à l’époque de la présidence de Jacques Chirac.
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