Voici encore une fois la preuve de l’hypocrisie de nos élites dirigeantes, ainsi que de certains membres de la caste médicale qui n’hésitent pas à aller en boîte de nuit clandestine et danser des heures sans masque pour, le lendemain, venir faire la morale à la population concernant le Covid-19 et le fait de devoir se vacciner pour protéger l’autre ! Il semble de plus en plus clair que la fin de ce cirque se rapproche et que ça va faire très mal…
Depuis deux ans, les boîtes de nuit sont les grandes victimes de la pandémie.
Fermées pendant plus d’un an, elles avaient rouvert l’été dernier avant de fermer de nouveau le 10 décembre 2021. Alors pour faire face à ce manque, certains ont décidé d’organiser des soirées clandestines. Reportage au cœur de l’une de ces boîtes de nuit clandestines.
Vers 1 heure du matin, notre journaliste se rend à l’adresse que lui a communiqué un promoteur de boites de nuit dans le 2e arrondissement de Paris. Sur le trottoir d’une rue étroite, une dizaine de personnes attendent devant une porte qui ressemble à celle d’un immeuble tout à fait comme les autres. Alors que certains ne parviennent pas à rentrer, d’autres sont plus confiants. Ils sont des habitués des boites de nuit clandestines. “On voit des annonces sur Instagram, après on sort beaucoup, donc on a un réseau”, explique une habituée.
Ensuite arrive notre tour : la porte s’entrouvre, un videur passe la tête, il nous demande notre nom et vérifie que notre journaliste est inscrite sur la liste. Pour entrer, le prix est une bouteille d’alcool à 300 Euros pour les clients non habitués, c’est hors de prix, mais “il faut que le jeu en vaille la chandelle,” explique un des organisateurs.
Une fois la porte passée, nous arrivons dans un couloir, sur la gauche un vestiaire, puis des escaliers qui descendent vers deux grandes salles en enfilade. Ce lieu, c’est habituellement un bar-restaurant, mais ce soir 150 à 200 personnes dansent sous les faisceaux des projecteurs rouges.