C’est de pire en pire, Olivier Véran n’a absolument plus de limite dans l’immonde puisqu’il propose à ceux qui veulent se vacciner avec le très douteux AstraZeneca de signer une décharge afin de déresponsabiliser l’état ! Rappelons que la HAS a publié un avis recommandant de ne pas utiliser ce vaccin sur les moins de 55 ans ! Comment donc lui demander de l’autoriser contre signature de décharge ? Comment-est-ce possible ?!
C’est encore une fois un pur exemple de charlatanisme, une décision qui n’a aucune base scientifique et encore moins médicale ; c’est une insulte à la médecine basée sur la science et les preuves !
Le vaccin AstraZeneca n’est plus administré aux moins de 55 ans en France en raison de cas rares de thromboses. Olivier Véran a saisi la Haute autorité de Santé (HAS) pour étudier la possibilité de permettre à tous les volontaires de recevoir ce vaccin en signant une décharge.
Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé vendredi 30 avril avoir « saisi » la Haute autorité de Santé (HAS) pour étudier la possibilité de permettre à tous les volontaires, quel que soit leur âge, de se faire vacciner à l’AstraZeneca en signant une décharge.
En Allemagne, « certaines régions ont dit quel que soit votre âge, vous pouvez recevoir de l’AstraZeneca, on vous explique les risques, et vous signez une décharge », a expliqué Olivier Véran, interrogé sur Franceinfo sur l’extension des injections de ce vaccin aux moins de 55 ans. « J’ai saisi la Haute autorité de santé sur ce sujet, en disant “est-ce que c’est quelque chose qu’on peut proposer aux Français, est-ce qu’on l’empêche ou non ?” J’attends sa réponse », a ajouté le ministre. « Pour l’instant, les premiers échos que j’ai ne sont pas forcément très emballés par cette idée mais à la rigueur, peut-être qu’on pourra trancher dans ce sens-là et donner la liberté de choix aux Français en leur apportant une information claire, loyale, appropriée », a précisé le ministre.
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Photo d’illustration : Le ministre de la Santé Olivier Véran a « saisi » la Haute autorité de Santé (HAS) pour étudier la possibilité d’ouverture de la vaccination à l’AstraZeneca à tous les volontaires. POOL / REUTERS
30 avril 2021