Les procédures judiciaires commencent timidement en France contre les laboratoires Pfizer et Moderna concernant les effets indésirables des injections d’ARN messager. Malheureusement, la justice française étant très lente et ses moyens misérables, cela risque de durer très longtemps avant qu’un résultat ne soit donné ou qu’une condamnation ne soit prononcée. C’est d’ailleurs également une démonstration de la mascarade covidiste car dans de nombreux pays dans le monde – la Thaïlande ou l’Australie – les autorités ont déjà indemnisé des victimes d’effets indésirables des injections anti Covid-19, mais en France ça n’existe pas, c’est un tabou. Vous pouvez mourir par centaines pendant l’injection même, mais les autorités ne retiendront pas la relation de cause à effet et affirmeront même l’inverse sans rougir de honte. Comme vous le savez, c’est l’exception française, si l’hydroxychloroquine fonctionne dans toute l’Afrique, ce ne sera jamais le cas en France. Si le Vioxx ou l’OxyContin ont tué des centaines de milliers de personnes aux USA, en France aucun décès n’est recensé ! Et ainsi de suite… La France est un pays au-dessus des nations, elle est dirigée par des génies inégalables, des divinités intouchables.
Ce lundi, Pfizer et BioNTech sont assignés pour la première fois dans une audience au tribunal civil de Marseille pour de possibles effets secondaires de son vaccin anti-Covid.
La requérante espère obtenir la désignation d’un expert médical qui évaluera le lien de causalité entre vaccination et apparition de sa pathologie.
L’avocat Eric Lanzarone la défend et dispose de 300 dossiers similaires.
L’audience prévue ce lundi à Marseille annonce un marathon judiciaire pour l’avocat Eric Lanzarone et sa cliente, une femme âgée de 55 ans qui préfère garder l’anonymat. L’avocat marseillais plaidera au civil pour tenter de faire reconnaître la polyarthrite rhumatoïde développée par sa cliente, « quelques jours après sa seconde dose de vaccin Pfizer », explique Eric Lanzarone. « Aujourd’hui, elle ne peut plus marcher plus de 300 à 400 mètres et est depuis en congé maladie. C’est un effet indésirable totalement invalidant », avance-t-il.
Dans l’audience contradictoire de ce lundi devant le tribunal civil, l’enjeu pour l’avocat est d’obtenir de la justice la désignation d’un expert médical pour faire établir le lien de cause à effet entre ses vaccinations et le développement de cette maladie articulaire inflammatoire. « Sa vie est devenue un enfer. On essaie de faire reconnaître le lien de causalité avec sa vaccination », poursuit l’avocat.
Face à lui, Capucine Van Robays représentera les huit avocats de Pfizer France, succursale de la société pharmaceutique américaine qui fabrique et commercialise le vaccin contre le Covid-19 le plus injecté en France. Il a également assigné la société allemande BioNTech, laboratoire qui a développé le vaccin. Une première en France alors que l’avocat avait déjà obtenu en octobre dernier à Paris la désignation d’un expert médical dans une affaire identique. « À Marseille, j’ai aussi assigné BioNTech, car, lors de l’audience à Paris, Pfizer s’était déchargé sur ce laboratoire », explique-t-il…
9 janvier 2023