Le Docteur Philippe Boxho est une personnalité importante du corps médical belge, il a eu des propos extrêmement sévères contre la tyrannie sanitaire mise en place dans son pays, et pourtant il est très loin d’être considéré comme complotiste paranoïaque écervelé. Il parle carrément de “totalitarisme”. Il s’agit bien évidemment de la gestion de la vaccination qui aujourd’hui, tout le monde peut le constater, est un fiasco retentissant. Concernant la mort du secret médical et la circulation tous azimuts des données personnelles de santé des Belges, là encore c’est le chaos total, la démonstration que les élites dirigeantes ne respectent plus la loi ni l’État de droit ; car c’est bien d’ une dictature dont il est question.
Pour établir son calendrier de vaccination, l’État va donc mixer deux types de données à caractère personnel.
D’une part celles des mutuelles, dont les bases de données figurent parmi les plus riches du pays (prescriptions, nom, adresses privées, mail…) D’autre part, celles sollicitées auprès des médecins qui, pour l’occasion, sont amenés à fissurer le secret médical en remontant les comorbidités de leurs patients. C’est sur cette base que les personnes dites « à risques » seront convoquées.
Ces traitements massifs de données doivent être scellés dans un accord de coopération « vaccination », sorte de supra-loi qui autorisera l’État fédéral et les entités fédérées à se les échanger. Sauf que, comme Le Soir a pu le révéler, ce texte a fait l’objet d’un avis au vitriol tant du Conseil d’État que de l’Autorité de protection des données. En cause : l’opacité de cette base de données et son illégalité au regard du RGPD…
2 mars 2021