Il y a la fiction théorique belle comme un soleil couchant à Tahiti et puis il y a la réalité que tout le monde peut constater ! C’est le cas ici pour les fameux “écoquartiers” mis en place par les autorités politiques qui ne sont rien d’autre que des échecs lamentables, des calamités économiques et écologiques. Le résultat final est pire qu’avant, les bâtiments sont insalubres et dangereux pour la santé, les installations électriques dangereuses… Mais attention, ce n’est pas pour autant un échec pour eux, à l’instar du communisme criminel, ils vous répondront que ça n’a pas marché car ce n’était pas assez bien appliqué, il faut aller encore plus loin dans leur délire car ça ne peut que fonctionner puisqu’ils appartiennent au camp du “bien”. C’est exactement ainsi que l’on sombre dans un système dictatorial qui durera quelques décennies avant de s’effondrer sur lui-même…
Le mieux est toujours l’ennemi du bien, dit la sagesse populaire et c’est tellement vrai pour tous les sujets qui concernent l’écologie et l’environnement !
Ce reportage de TF1 lève le coin du voile sur la réalité que l’on ne veut pas voir de toutes ces constructions plus ou moins miteuses que l’on qualifie pourtant de « durables », « écologiques » ou « basse consommation ».
La réalité dès que l’on commence à massifier les choses est toujours beaucoup plus nuancée pour ne pas dire parfois calamiteuse.
« ENQUÊTE – Écoquartiers : derrière la façade écologique, les malfaçons »
TF1 a enquêté sur les malfaçons qui empoisonnent la vie des habitants, loin de la promesse écologique de départ.
Sur le papier, le cadre de vie est idyllique. Peu de voitures, beaucoup d’espaces verts, des habitations bien isolées, et durables. En France, 230.000 logements sont situés dans des « EcoQuartiers », un label instauré par le gouvernement en décembre 2012. Mais ces immeubles sont plus onéreux à construire. Pour rester attractifs, certains promoteurs ont cherché à faire des économies, et ça commence à se voir.La machine à laver, c’est la quatrième, le frigo pareil, la télé, on vient de la changer
Dans un appartement visité par notre équipe, les malfaçons électriques créent régulièrement des surtensions, martyrisant les appareils électriques de la locataire. « Mon lave-vaisselle ne fonctionne plus, et j’en suis à mon troisième », témoigne Nayé Galleron dans le reportage de TF1 en tête de cet article. « La machine à laver, c’est la quatrième, le frigo pareil, la télé, on vient de la changer, il y a eu une coupure de courant sans disjonction (…), on ne sait pas ce qui va sauter la prochaine fois », résume cette habitante de l’écoquartier de Bretigny-sur-Orge (Essonne). Des changements réguliers des appareils électroménagers, loin de la promesse écologique de départ.
Il y a des gens qui n’ont pas de chauffage, il y a de la moisissure dans des chambres
Un peu plus loin, dans un appartement du même immeuble, les matériaux défectueux ont laissé l’eau s’infiltrer partout, de la terrasse à la chambre à coucher. « Dans un bâtiment qui n’a même pas 10 ans », souligne la locataire. Pour la présidente de l’association des habitants, le label EcoQuartier est loin d’être un gage de performance énergétique. « On voit des malfaçons dans plusieurs appartements », nous explique Martine Amard, « il y a des gens qui n’ont pas de chauffage, il y a de la moisissure dans des chambres ».
Quand ce ne sont pas les logements, c’est parfois la vie en communauté qui ne coche pas toutes les cases de l’écoquartier, comme notre équipe l’a constaté à Strasbourg. Les jardins partagés ont été désertés, les composteurs mis à disposition sont restés vides, faute de suivi pour inciter les habitants à s’en servir. Bâti à la place d’anciennes brasseries, le quartier de Kronenbourg offrait la promesse d’une reconversion de friche exemplaire, et d’un espace entièrement piéton. Pourtant, le principe fondateur de faire disparaître la voiture de l’espace public n’est plus respecté. Des habitants se garent même au pied de leur immeuble, contrairement à l’esprit de départ. La suite de l’enquête du 20h de TF1 dans la vidéo en tête de cet article.
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Charles Sannat
25 mai 2023