Le travail idéologique de propagande du lobby LGBT continue de plus belle en France avec la complicité du corps enseignant. Comme vous pouvez le constater dans cette affaire, cette rencontre avec des élèves de 4e de l’École alsacienne a été réalisée sans la présence des enseignants responsables, sans que les parents ne soient consultés, on a l’impression que c’est une embuscade tendue par les lobbyistes. Pire encore, ces derniers ont accusé les élèves d’être des “transphobes” ! C’est d’une exceptionnelle gravité car ce ton accusatoire culpabilisateur n’a strictement rien à voir avec l’école. Faut-il rappeler les fondamentaux : l’école n’est pas là pour éduquer les gens mais pour les instruire. L’école n’est pas là pour assouvir les délires idéologiques des uns des autres, elle n’est pas là pour rendre les élèves bien élevés au plus gentils, plus ouverts… l’école est là pour l’instruction. C’est la famille qui doit s’occuper du reste, personne d’autre. L’école se transforme petit à petit en lieu de militantisme dans lequel des idéologues pratiquent des meetings quotidiens afin d’influencer les nouvelles générations, c’est inacceptable.
Une intervention de l’association OUTrans devant des classes de 4e du prestigieux établissement privé a ému de nombreux parents. Ils dénoncent une prise à partie militante, et même agressive, de leurs enfants.
Si le but de l’association OUTrans était de se faire connaître un peu mieux du grand public, c’est peut-être réussi – mais il n’est pas certain que cela lui profite. Cette association qui prône la lutte contre la transphobie et l’aide aux personnes trans est intervenue lundi 17 avril devant trois classes de 4e de l’École alsacienne, prestigieux établissement privé du sixième arrondissement de Paris. Mais la teneur de l’intervention, supposément centrée sur la prévention des LGBTphobies (et finalement consacrée uniquement à la question trans) a scandalisé de nombreux parents d’élèves, obligeant la direction du collège d’empêcher la tenue ultérieure de nouvelles interventions d’OUTrans.
Choqués et en colère face à ce qu’ils qualifient de « propagande » en faveur du « militantisme trans », des parents se sont par la suite ouverts à « L’Observatoire du décolonialisme », un collectif d’universitaires regroupés autour de la défense de l’universalisme dans l’enseignement – qui les a ensuite redirigés…