Alors qu’Emmanuel macron a affirmé au mois de juin dernier qu’il n’y aura jamais de coupure d’électricité cet hiver en France, des ministres du gouvernement se réunissent pour préparer justement ces délestages ! En d’autres termes, c’est un énième mensonge, une énième trahison du pire président de la république française. La situation est extrêmement grave car les conséquences de telles coupures seront mortelles étant donné qu’il ne sera plus possible d’utiliser les numéros d’urgence, par exemple. Qu’en sera-il des gens malades, hospitalisés à domicile avec des respirateurs… ? On sait déjà que de nombreux Français vont mourir de froid cet hiver à cause de cette crise énergétique totalement folle causée par une guerre qui ne concerne pas la France.
« Aujourd’hui, nous dépendons du ciel » : comment le gouvernement se prépare à de possibles coupures d’électricité massives
Elisabeth Borne réunit toutes les semaines une cellule interministérielle de crise pour anticiper un scénario catastrophe : des températures glaciales à Noël et des Français privés de lumière, d’ordinateur et même de téléphone portable.
Alors que les températures chutent, RTE, le gestionnaire du réseau d’électricité, l’assure, il n’y aura pas de blackout en décembre. Mais après les fêtes, impossible de prédire quel temps il fera. Alors le gouvernement se prépare et prépare les esprits.
Le message rassurant a été porté par Elisabeth Borne, la Première ministre, mardi 29 novembre, en conseil des ministres et répété par le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, qui parle en cas de scénario critique de « dispositif exceptionnel de dernier recours », c’est-à-dire de coupures d’électricité.
« On entre en terre inconnue »
Depuis début novembre, Elisabeth Borne réunit toutes les semaines une cellule interministérielle de crise, par anticipation. « Des réunions où l’on partage surtout les infos sur les travaux que l’on mène », raconte un participant, qui reconnaît que tout n’est pas réglé loin de là.
En coulisse, certains ministres en première ligne ont des sueurs froides. « S’il doit y avoir des coupures, on entre en terre inconnue », lâche l’un d’entre eux. Car pas d’électricité, c’est pas de lumière, pas de chauffage, mais pas non plus de téléphone, ni mobile, ni fixe, rappelle un spécialiste au sein du gouvernement. Quid alors des appels d’urgences ? Olivier Véran assure, par exemple, qu’une seule antenne d’un seul opérateur fonctionnel suffit pour que tous les numéros d’urgence soient accessibles. « C’est plus compliqué », selon un connaisseur du dossier. Notamment en zone rurale là où il y a peu d’antennes, nuance une source gouvernementale haut placée…