Pourtant, ils nous bassinent systématiquement encore et encore, et avec la pleurniche du risque d’être FM parce qu’ils ont souffert pendant la dernière guerre bla bla… alors qu’ils n’ont jamais été aussi nombreux et puissants. La secte resterait sur cette stratégie même si 65 millions de Français devenaient francs-maçons ! Une vraie clownerie ces dégénérés. Quant au témoignage sur les politiques, il est totalement mensonger puisqu’il suffit de connaître le nombre de maçons au gouvernement et dans les ministères pour comprendre qu’ils détiennent la réalité du pouvoir (sans oublier les fraternelles). De toute façon, il suffit de voir les lois qui passent et qui sont imposées au peuple malgré son refus ! Point.
Selon Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient, la France compte 135.000 à 140.000 francs-maçons, dont « plein » de journalistes, a-t-il assuré vendredi sur BFMTV.
Auteur du Petit Dictionnaire des (vrais et faux) frères, l’ancien grand maître du Grand Orient Alain Bauer a indiqué qu’il y a aujourd’hui en France 135.000 à 140.000 francs-maçons. Interviewé vendredi matin sur BFMTV, le criminologue a précisé qu’il y avait en France une douzaine d’obédiences – des fédérations de loges – importantes et d’autres plus petites. Il y a « plein » de journalistes francs-maçons, il y a ceux qui « assument le fait de le dire » et d’autres qui le cachent. Être franc-maçon est-il compatible avec le métier de journaliste ? « Quand on assume la fierté de l’appartenance, il n’y a pas de problème particulier, estime Alain Bauer. Le problème c’est le secret ».
C’est aussi « la promiscuité et l’incapacité à assumer sa propre mission professionnelle », juge l’ancien grand maître du Grand Orient. « Dans la plupart des cas, c’est plutôt dans l’affairisme que dans le journalisme que la question s’est posée parce que la franc-maçonnerie génère son tissu de corrompus et de pourris comme toute organisation humaine ».
10 % de la classe politique appartient à une loge
L’auteur considère également que la franc-maçonnerie a subi une « considérable perte d’influence ». Il précise ainsi qu’avant la Seconde Guerre mondiale, 50 % de la classe politique appartenait à une loge. Aujourd’hui, ils ne sont que 10%.
Alain Bauer précise enfin qu’aucun président de la Ve République n’a été franc maçon. Concernant Jacques Chirac, « son grand-père l’a été », Valéry Giscard d’Estaing « a voulu mais les conditions qu’il aurait mise à son passage n’ont pas été jugées acceptables ». Quant à François Hollande, « son suppléant et beaucoup de gens autour de lui » sont francs-maçons.